Sanaa - Saba :
Le troisième concours du Saint Coran, destiné aux étudiants des universités publiques et privées et des collèges communautaires, a débuté hier samedi à l'Université des sciences médicales appliquées du 21 septembre. Ce concours est organisé par le Secteur de l'enseignement supérieur en partenariat avec l'Université du 21 septembre.
Ce concours de cinq jours, auquel participent 25 universités et collèges publics et privés, vise à encourager les étudiants à mémoriser, réciter et chanter le Saint Coran, et à renforcer leur identité religieuse, leurs valeurs morales et leur culture coranique. Il vise également à développer des relations interpersonnelles et à approfondir leur connaissance du Saint Coran et de ses sciences.
Lors de la cérémonie d'ouverture, le vice-ministre de l'Éducation et de la Recherche scientifique, le Dr Hatem Al-Duais, a souligné l'importance du concours pour encourager les étudiants des universités publiques et privées et des collèges communautaires à mémoriser le Saint Coran, à maîtriser sa mémorisation, sa récitation et son intonation, et à renforcer leur identité de foi.
Il a salué les efforts de l'Université du 21 Septembre pour organiser le concours et préparer l'accueil des participants, qui appelle à la participation de tous les secteurs et établissements d'enseignement, y compris les filières professionnelles et techniques. Il a souligné la nécessité d'intégrer la culture coranique dans ses programmes et activités et de la promouvoir auprès des étudiants inscrits.
Le Dr Al-Duais a souligné la nécessité pour les établissements d'enseignement d'intensifier les activités religieuses et de promouvoir la culture coranique auprès des étudiants. Il a exprimé l'espoir que les ministères de l'Information et de la Culture adopteront des programmes de culture coranique et que le ministère de l'Éducation et de la Recherche scientifique et les établissements d'enseignement participeront au succès de ces concours et activités.
De son côté, le Dr Mujahid Mu’asar, président de l'Université des sciences médicales appliquées du 21 septembre, a souligné l'importance du concours du Saint Coran, que l'université organise pour la troisième année consécutive en partenariat avec le ministère de l'Éducation et de la Recherche scientifique.
Il a considéré le Concours du Saint Coran comme l’un des plus grands concours auxquels toute université ou collège serait honoré de participer, exhortant les universités et les collèges communautaires à contribuer à la promotion de la culture coranique parmi leurs étudiants et étudiantes, d’une manière qui leur serait bénéfique dans leur vie académique, scientifique et professionnelle.
De son côté, le président de l'Université Razi, le Dr Khalil Al-Wajeeh, dans son discours au nom des universités participantes, a salué les efforts de l'Université du 21 septembre et son engagement à organiser le concours annuel du Saint Coran.
Il a souligné l'importance d'adhérer au Saint Coran, de le réciter avec assiduité et de le mémoriser avec soin, et de veiller à l'intégrer dans son comportement, sa morale et sa vie, de manière à en tirer profit ici-bas et dans l'au-delà. Il a appelé à la renaissance des lectures yéménites authentiques et à l'encouragement des étudiants et des mémorisateurs du Livre de Dieu à les utiliser.
Par ailleurs, le Dr Moti' Abu Arij, vice-président des affaires académiques de l'Université des sciences médicales appliquées du 21 septembre, et Abdul Karim Al-Dahhak, directeur des activités au ministère de l'Éducation et de la Recherche scientifique, ont souligné l'importance d'organiser la troisième édition du Concours du Saint Coran pour renforcer l'identité religieuse des étudiants des universités publiques et privées et des collèges communautaires, et pour développer leur culture coranique.
Ils ont expliqué que le concours comprend la mémorisation, la récitation et la récitation du Saint Coran en quatre catégories : cinq parties, dix parties, vingt parties et le Coran entier. Chaque université et collège participe avec quatre étudiants et un superviseur, ainsi que quatre étudiantes et un superviseur. Chaque catégorie du concours est dotée d'un jury spécialisé.
