NEW YORK Février 20. 2024 (Saba) - Dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité, l'ambassadeur et représentant permanent de l'Iran auprès des Nations Unies, Amir Saeed Irani, a réfuté le lundi les affirmations américaines selon lesquelles des armes seraient envoyées au Yémen.
L'agence de presse Mehr a cité hier soir Irani, dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité, disant : Le représentant des États-Unis à la réunion de ce Conseil a publié de fausses informations et a lancé des accusations sans fondement contre la République islamique d'Iran concernant la situation au Yémen et en Méditerranée. Il a exploité la plateforme du Conseil de sécurité pour faire avancer son agenda politique.
Il a ajouté : Suite à la correspondance datée du 15 janvier 2024 (S/2024/64), je voudrais réitérer une autre allégation sans fondement formulée par le représentant des États-Unis contre mon pays.
Le plus haut diplomate iranien auprès des Nations Unies a déclaré : Lors de la dernière réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies tenue le 14 février 2024, dans le cadre de l'agenda sur la situation au Moyen-Orient (S/2024/(No. 9548) Malheureusement, le représentant des États-Unis d'Amérique a encore une fois diffusé de fausses informations, lancé des accusations sans fondement contre la République islamique d'Iran concernant la situation au Yémen et dans la mer Rouge et exploité la plate-forme du Conseil de sécurité pour faire avancer son programme politique.
L'ambassadeur iranien auprès des Nations Unies a souligné que son pays rejette fermement ces accusations sans fondement et les considère comme une excuse utilisée par les États-Unis pour justifier et légitimer leurs actions illégales et leur agression militaire contre le Yémen.
Il a expliqué que, comme indiqué dans la lettre datée du 15 janvier 2024, l'Iran reste attaché à son engagement envers les résolutions 2140 (2014) et 2216 (2015) du Conseil de sécurité et n'a entrepris aucune activité incompatible avec ces résolutions, y compris la vente ou le transfert d'armes. . En outre, l'Iran prône toujours une solution pacifique à la crise yéménite par la voie diplomatique et affirme son engagement en faveur de la sécurité maritime et de la liberté de navigation.
Irani a souligné que l'Iran condamnait une fois de plus l'agression militaire des États-Unis et de l'Angleterre ainsi que le recours illégal à la force au Yémen.
Il a déclaré : Cette agression militaire viole clairement la souveraineté et l'intégrité territoriale du Yémen, le droit international, la Charte des Nations Unies et les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, et constitue une menace sérieuse à la paix, à la stabilité et à la sécurité dans la région.
Il a ajouté : L'invocation de la légitime défense au titre de l'Article 51 de la Charte des Nations Unies par les États-Unis et le Royaume-Uni pour justifier leurs actions illégales a pour but d'induire en erreur et manque de légitimité au regard du droit international.
A la fin de ce message, l'ambassadeur iranien auprès des Nations Unies a demandé au président du Conseil de sécurité de l'ONU d'enregistrer ce message et de le distribuer comme document du Conseil de sécurité.
A.A.A.
L'agence de presse Mehr a cité hier soir Irani, dans une lettre adressée au président du Conseil de sécurité, disant : Le représentant des États-Unis à la réunion de ce Conseil a publié de fausses informations et a lancé des accusations sans fondement contre la République islamique d'Iran concernant la situation au Yémen et en Méditerranée. Il a exploité la plateforme du Conseil de sécurité pour faire avancer son agenda politique.
Il a ajouté : Suite à la correspondance datée du 15 janvier 2024 (S/2024/64), je voudrais réitérer une autre allégation sans fondement formulée par le représentant des États-Unis contre mon pays.
Le plus haut diplomate iranien auprès des Nations Unies a déclaré : Lors de la dernière réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies tenue le 14 février 2024, dans le cadre de l'agenda sur la situation au Moyen-Orient (S/2024/(No. 9548) Malheureusement, le représentant des États-Unis d'Amérique a encore une fois diffusé de fausses informations, lancé des accusations sans fondement contre la République islamique d'Iran concernant la situation au Yémen et dans la mer Rouge et exploité la plate-forme du Conseil de sécurité pour faire avancer son programme politique.
L'ambassadeur iranien auprès des Nations Unies a souligné que son pays rejette fermement ces accusations sans fondement et les considère comme une excuse utilisée par les États-Unis pour justifier et légitimer leurs actions illégales et leur agression militaire contre le Yémen.
Il a expliqué que, comme indiqué dans la lettre datée du 15 janvier 2024, l'Iran reste attaché à son engagement envers les résolutions 2140 (2014) et 2216 (2015) du Conseil de sécurité et n'a entrepris aucune activité incompatible avec ces résolutions, y compris la vente ou le transfert d'armes. . En outre, l'Iran prône toujours une solution pacifique à la crise yéménite par la voie diplomatique et affirme son engagement en faveur de la sécurité maritime et de la liberté de navigation.
Irani a souligné que l'Iran condamnait une fois de plus l'agression militaire des États-Unis et de l'Angleterre ainsi que le recours illégal à la force au Yémen.
Il a déclaré : Cette agression militaire viole clairement la souveraineté et l'intégrité territoriale du Yémen, le droit international, la Charte des Nations Unies et les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, et constitue une menace sérieuse à la paix, à la stabilité et à la sécurité dans la région.
Il a ajouté : L'invocation de la légitime défense au titre de l'Article 51 de la Charte des Nations Unies par les États-Unis et le Royaume-Uni pour justifier leurs actions illégales a pour but d'induire en erreur et manque de légitimité au regard du droit international.
A la fin de ce message, l'ambassadeur iranien auprès des Nations Unies a demandé au président du Conseil de sécurité de l'ONU d'enregistrer ce message et de le distribuer comme document du Conseil de sécurité.
A.A.A.