Sanaa - Saba :
Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a fermement condamné jeudi l'agression américano-britannique en cours contre le Yémen, mise en évidence par les 15 frappes aériennes récentes sur la capitale Sanaa et les provinces de Saada.
Le porte-parole officiel du ministère, l'ambassadeur Wahid al-Shami, a déclaré que les actions américano-britanniques, en cours depuis le 12 janvier et soutenues par certains autres pays, constituent une agression à part entière au regard du droit international, violant la souveraineté et l'intégrité territoriale du Yémen.
Al-Shami a souligné que cette agression contrevient à la Charte des Nations Unies, qui appelle à éviter les menaces ou l'utilisation de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique de toute nation.
L'ambassadeur al-Shami a critiqué les tentatives des États-Unis et du Royaume-Uni de justifier leurs actions comme étant de la légitime défense, arguant que leurs véritables objectifs sont de protéger l'entité sioniste et de lui permettre de poursuivre ses crimes de guerre contre les peuples palestinien et libanais.
Il a affirmé que l'agression cherche également à saper le soutien du Yémen à ces nations dans le contexte du génocide en cours.
Le porte-parole a souligné que cette action militaire a ciblé des infrastructures civiles et des installations économiques, entraînant des pertes civiles, dont des enfants.
Il a réitéré l'engagement du Yémen à garantir la liberté et la sécurité de la navigation en mer Rouge, tout en accusant les États-Unis et le Royaume-Uni de menacer la sécurité maritime.
L'ambassadeur al-Shami a appelé la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité, à condamner l'agression américano-britannique et à s'attaquer aux causes profondes de l'instabilité régionale, en particulier l'agression sioniste en cours contre la Palestine et le Liban.
Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a fermement condamné jeudi l'agression américano-britannique en cours contre le Yémen, mise en évidence par les 15 frappes aériennes récentes sur la capitale Sanaa et les provinces de Saada.
Le porte-parole officiel du ministère, l'ambassadeur Wahid al-Shami, a déclaré que les actions américano-britanniques, en cours depuis le 12 janvier et soutenues par certains autres pays, constituent une agression à part entière au regard du droit international, violant la souveraineté et l'intégrité territoriale du Yémen.
Al-Shami a souligné que cette agression contrevient à la Charte des Nations Unies, qui appelle à éviter les menaces ou l'utilisation de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique de toute nation.
L'ambassadeur al-Shami a critiqué les tentatives des États-Unis et du Royaume-Uni de justifier leurs actions comme étant de la légitime défense, arguant que leurs véritables objectifs sont de protéger l'entité sioniste et de lui permettre de poursuivre ses crimes de guerre contre les peuples palestinien et libanais.
Il a affirmé que l'agression cherche également à saper le soutien du Yémen à ces nations dans le contexte du génocide en cours.
Le porte-parole a souligné que cette action militaire a ciblé des infrastructures civiles et des installations économiques, entraînant des pertes civiles, dont des enfants.
Il a réitéré l'engagement du Yémen à garantir la liberté et la sécurité de la navigation en mer Rouge, tout en accusant les États-Unis et le Royaume-Uni de menacer la sécurité maritime.
L'ambassadeur al-Shami a appelé la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité, à condamner l'agression américano-britannique et à s'attaquer aux causes profondes de l'instabilité régionale, en particulier l'agression sioniste en cours contre la Palestine et le Liban.