Gallant révèle des détails choquants sur la guerre, Netanyahu et l’accord


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Agence de Presse Yéménite
Gallant révèle des détails choquants sur la guerre, Netanyahu et l’accord
[08/ Novembre/2024]
Al-Qods occupée - Saba :

Le soi-disant ministre sioniste (‘israélien’) de la Guerre, Yoav Gallant, a révélé hier, le jeudi, des questions importantes liées à la poursuite de la guerre et à l'accord d'échange, et que l'une des raisons de son licenciement était son soutien à la conclusion d'un accord pour libérer les prisonniers détenus par le Mouvement de résistance islamique Hamas (de la Palestine).





Gallant a exhorté les familles des personnes kidnappées à renforcer leurs relations avec le Premier ministre (du soi-disant ‘Israël’ d’apartheid) Benjamin Netanyahu et à faire pression pour la mise en œuvre de l'accord discuté début juillet, selon l'agence palestinienne Maan.





Il a ajouté : "Si nous nous retirons des territoires, nous pouvons y retourner. Les considérations pour rejeter l'accord ne sont ni militaires ni politiques." Gallant a déclaré clairement que les familles devraient concentrer leurs efforts sur Netanyahu : « Il décide seul ».

Gallant a attaqué l’idée de rester sur la route de Philadelphie comme prétexte pour contrecarrer l’accord d’enlèvement : « Je peux vous dire ce qui ne s’est pas produit, il n’y a eu aucune considération de sécurité. »

Il leur a expliqué : « Je peux vous dire ce que ce n'était pas : il n'y avait aucune considération de sécurité là-bas. Le chef d'état-major et moi avons dit qu'il n'y avait aucune considération de sécurité à rester sur Philadelphia Road. Netanyahu dit que c'est une considération politique, et Je vous dis qu'il n'y a aucune contrepartie." Politicien là aussi.

On a demandé à Gallant pourquoi ils n’avaient pas fait avancer l’accord, et il a répondu : « Il n’y a plus rien à faire à Gaza. Nous avons réalisé de grandes réalisations. » Après cela, on nous a demandé pourquoi ils étaient restés là-bas. Gallant a répondu : J'ai peur que nous y restions par désir de rester là, de contrôler la région, apparemment comme condition pour créer la sécurité. "Pour moi, cela me semble inapproprié de faire courir des risques aux soldats."

Finalement, on a demandé à Gallant s’il était optimiste quant à la conclusion d’un accord, et il a répondu : « Sur cette question, je ne suis pas optimiste. »