Paris-Saba:
Le directeur général de la gendarmerie française, le général Hubert Bonnot, a mis en garde hier mardi contre la possibilité d'un "conflit armé et d'une attaque sur le territoire français", soulignant que la France traverse un "tournant" sensible.
Le journal Le Monde a divulgué une lettre de Bonnot adressée aux hauts responsables régionaux en France, aux départements et aux directeurs centraux, composée de trois pages et datée du 19 janvier 2025, dans laquelle le général Bonnot indiquait que « l'environnement stratégique actuel est devenu plus rigoureux ». a souligné que la France traverse... un "tournant" sensible.
Il a expliqué que « des acteurs et des concurrents cherchent à déstabiliser le pays, ce qui nécessite de renforcer la coordination avec les forces armées et de développer une défense régionale opérationnelle ».
Le général Bonno a appelé « les personnels de la gendarmerie à être pleinement préparés pour maintenir leur rôle de défense de la patrie » et a souligné la nécessité de « préserver la cohésion nationale, qui est l'élément le plus important pour faire face aux défis actuels ».
Il a appelé à adopter un « esprit militaire »… évoquant « l’hypothèse d’une implication dans un conflit majeur ».
« Les développements politiques aux États-Unis (EUA), avec leurs implications potentielles pour l'OTAN, pousseront sans aucun doute l'Europe à s'engager davantage dans sa défense, alors que la crise ukrainienne entre dans sa troisième année », a-t-il déclaré.
Il a ajouté : « Les 135 000 gendarmes d'active et de réserve ont le devoir de se préparer à prendre leur place en prévision de toute hypothèse, notamment en renforçant l'acquisition et la maintenance des équipements militaires. »
Il a également souligné « l'importance de renforcer les relations entre la Gendarmerie et l'Armée », notant la « nécessité de la préparation de la Gendarmerie à jouer un rôle central dans la défense opérationnelle des territoires ».
Certains parlementaires français ont indiqué dans leurs rapports que la situation sécuritaire s'était détériorée dans plusieurs régions.
Le directeur général de la gendarmerie française, le général Hubert Bonnot, a mis en garde hier mardi contre la possibilité d'un "conflit armé et d'une attaque sur le territoire français", soulignant que la France traverse un "tournant" sensible.
Le journal Le Monde a divulgué une lettre de Bonnot adressée aux hauts responsables régionaux en France, aux départements et aux directeurs centraux, composée de trois pages et datée du 19 janvier 2025, dans laquelle le général Bonnot indiquait que « l'environnement stratégique actuel est devenu plus rigoureux ». a souligné que la France traverse... un "tournant" sensible.
Il a expliqué que « des acteurs et des concurrents cherchent à déstabiliser le pays, ce qui nécessite de renforcer la coordination avec les forces armées et de développer une défense régionale opérationnelle ».
Le général Bonno a appelé « les personnels de la gendarmerie à être pleinement préparés pour maintenir leur rôle de défense de la patrie » et a souligné la nécessité de « préserver la cohésion nationale, qui est l'élément le plus important pour faire face aux défis actuels ».
Il a appelé à adopter un « esprit militaire »… évoquant « l’hypothèse d’une implication dans un conflit majeur ».
« Les développements politiques aux États-Unis (EUA), avec leurs implications potentielles pour l'OTAN, pousseront sans aucun doute l'Europe à s'engager davantage dans sa défense, alors que la crise ukrainienne entre dans sa troisième année », a-t-il déclaré.
Il a ajouté : « Les 135 000 gendarmes d'active et de réserve ont le devoir de se préparer à prendre leur place en prévision de toute hypothèse, notamment en renforçant l'acquisition et la maintenance des équipements militaires. »
Il a également souligné « l'importance de renforcer les relations entre la Gendarmerie et l'Armée », notant la « nécessité de la préparation de la Gendarmerie à jouer un rôle central dans la défense opérationnelle des territoires ».
Certains parlementaires français ont indiqué dans leurs rapports que la situation sécuritaire s'était détériorée dans plusieurs régions.