
Téhéran - Saba :
Le président iranien Masoud Pezeshkian a souligné mercredi que son pays était fort et que ses réserves et ressources étaient « exceptionnelles au monde ».
Les agences de presse iraniennes ont cité Pezeshkian lors d'une réunion du gouvernement, en réponse aux déclarations de Trump, qui a annoncé le début d'une politique de pression maximale envers Téhéran, en déclarant : « Les Américains croient que tout ce que nous faisons dépend du pétrole, et ils veulent arrêter nos exportations de pétrole, alors qu'il existe de nombreux moyens de neutraliser leurs objectifs. »
Sur un autre plan, lors de sa réception du secrétaire général de l’OPEP, Haitham Al-Ghaidh, Bezkishian a souligné la nécessité de parvenir à un langage, une vision et une politique communs entre les membres de l’organisation, notant que « les membres doivent agir d’une manière qui ne porte pas préjudice à un autre membre ».
Le président iranien a souligné que si les membres de l'OPEP agissaient de manière unifiée, « les États-Unis (ÉUA) ne seraient pas en mesure d'imposer des sanctions à aucun membre, ni de faire pression sur lui ».
Le président iranien Masoud Pezeshkian a souligné mercredi que son pays était fort et que ses réserves et ressources étaient « exceptionnelles au monde ».
Les agences de presse iraniennes ont cité Pezeshkian lors d'une réunion du gouvernement, en réponse aux déclarations de Trump, qui a annoncé le début d'une politique de pression maximale envers Téhéran, en déclarant : « Les Américains croient que tout ce que nous faisons dépend du pétrole, et ils veulent arrêter nos exportations de pétrole, alors qu'il existe de nombreux moyens de neutraliser leurs objectifs. »
Sur un autre plan, lors de sa réception du secrétaire général de l’OPEP, Haitham Al-Ghaidh, Bezkishian a souligné la nécessité de parvenir à un langage, une vision et une politique communs entre les membres de l’organisation, notant que « les membres doivent agir d’une manière qui ne porte pas préjudice à un autre membre ».
Le président iranien a souligné que si les membres de l'OPEP agissaient de manière unifiée, « les États-Unis (ÉUA) ne seraient pas en mesure d'imposer des sanctions à aucun membre, ni de faire pression sur lui ».