Washington-Saba :
90 organisations américaines et internationales ont condamné hier mercredi les déclarations du président américain Donald Trump concernant son projet de déplacer les Palestiniens de la bande de Gaza et de s'en emparer.
Dans une déclaration commune, ces organisations internationales ont considéré ces déclarations comme un appel explicite au nettoyage ethnique, ce qui constitue une violation du droit international.
Dans le même contexte, les membres du Congrès américain se sont opposés à l'annonce par le président Donald Trump de l'intention des États-Unis de prendre le contrôle de la bande de Gaza et de déplacer ses habitants vers l'Égypte et la Jordanie.
Les membres du Congrès ont déclaré que les déclarations de Trump étaient immorales et violaient les lois internationales, soulignant leur opposition à celles-ci.
"L'image du vice-Premier ministre posant fièrement avec le Premier ministre israélien recherché par la CPI (Cour pénale internationale) – l'un des architectes de la destruction de Gaza, qui devrait être arrêté pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité – est une honte pour l'Italie et son peuple, et un affront à la Constitution italienne," a écrit Francesca Albanese, rapporteuse de l'ONU ce jeudi sur son compte X.
90 organisations américaines et internationales ont condamné hier mercredi les déclarations du président américain Donald Trump concernant son projet de déplacer les Palestiniens de la bande de Gaza et de s'en emparer.
Dans une déclaration commune, ces organisations internationales ont considéré ces déclarations comme un appel explicite au nettoyage ethnique, ce qui constitue une violation du droit international.
Dans le même contexte, les membres du Congrès américain se sont opposés à l'annonce par le président Donald Trump de l'intention des États-Unis de prendre le contrôle de la bande de Gaza et de déplacer ses habitants vers l'Égypte et la Jordanie.
Les membres du Congrès ont déclaré que les déclarations de Trump étaient immorales et violaient les lois internationales, soulignant leur opposition à celles-ci.
"L'image du vice-Premier ministre posant fièrement avec le Premier ministre israélien recherché par la CPI (Cour pénale internationale) – l'un des architectes de la destruction de Gaza, qui devrait être arrêté pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité – est une honte pour l'Italie et son peuple, et un affront à la Constitution italienne," a écrit Francesca Albanese, rapporteuse de l'ONU ce jeudi sur son compte X.