Après que la justice française l'a privé de ses droits, l'avocat de Mbappé menace d'escalader


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Agence de Presse Yéménite
Après que la justice française l'a privé de ses droits, l'avocat de Mbappé menace d'escalader
[21/ FÈvrier/2025]
Paris-Saba:

Delphine Verheiden, l'avocate de la star française Kylian Mbappé, la star de l'équipe espagnole du Real Madrid, a menacé ce vendredi le Paris Saint-Germain d'aggraver la crise du joueur concernant ses impayés auprès du géant parisien.





Kylian Mbappé a quitté le Paris Saint-Germain l'été dernier pour rejoindre le Real Madrid gratuitement après l'expiration de son contrat avec les géants parisiens.





La Haute Commission d'Appel de la Fédération Française de Football a rejeté l'appel de Mbappé contre la décision de ne pas payer ces cotisations.





De son côté, la direction du Paris Saint-Germain a confirmé qu'elle n'était pas obligée de payer ce montant en raison d'un accord antérieur conclu avec Mbappé en août 2023.

L'accord stipule que le joueur renoncera au bonus de 55 millions d'euros s'il quitte le club gratuitement à la fin de la saison 2023-24 sans indemnité de transfert.

À son tour, Delphine Verheiden a déclaré dans des déclarations soulignées par le journal français L'Equipe aujourd'hui que Mbappé n'avait pas trouvé d'accord avec son ancien club, le Paris Saint-Germain, à l'été 2023.

Elle a poursuivi : « Dans le code du travail, un avenant doit être signé pour modifier le salaire ou la durée du contrat, et le règlement du football stipule que cet avenant doit être approuvé dans les 15 jours suivant sa signature. Si cela n'est pas fait, toutes les discussions sont caduques. Il n'y a pas eu d'accord avec Paris. »

Elle a poursuivi : « Je pense que le Paris Saint-Germain utilise la pensée magique, c'est ce que vous faites quand vous vous dites, nous ne sommes pas face à un club de ligue amateur qui ne connaît pas les règlements. »

Concernant ses arriérés, elle a expliqué : « Il manque le troisième tiers de la prime à la signature, ce qui équivaut à 36,66 millions d’euros au total. Ensuite, les salaires d’avril, mai et juin sont estimés à 18,75 millions d’euros, ce qui nous rapproche des 55 millions d’euros. »

Elle a conclu ses déclarations en ajoutant qu'elle n'excluait pas de recourir au tribunal du travail, et de ne pas chercher à parvenir à un règlement à l'amiable.