Al-Qods occupée - Saba :
Le ministère israélien de la Défense a reconnu hier dimanche que le nombre de soldats blessés et handicapés dans les rangs de l'armée ennemie s'élevait à 78 000, en raison de la récente guerre.
Il a souligné que la plupart d’entre eux sont des soldats de réserve et que plus de 50% d’entre eux ont moins de trente ans.
Il a expliqué que 62% d'entre eux souffrent de blessures psychologiques et que 10% des blessés sont dans un état modéré à critique.
Il a déclaré que 194 soldats se trouvent actuellement dans les hôpitaux sionistes, selon le site Internet Al-Mayadeen.
Dans un contexte similaire, le site Internet du journal sioniste Yedioth Ahronoth a évoqué aujourd'hui, dimanche, les inquiétudes de l'état-major de l'armée ennemie sioniste, concernant la « grave pénurie de main-d'œuvre », alors que des estimations indiquent l'existence d'une « forte pression sur les soldats réguliers, qui ne retourneront pas chez eux dans les années à venir ».
Selon la Division des opérations de l'armée ennemie, on estime que l'entité occupante entrera dans une pénurie de main-d'œuvre pendant des années, ce qu'elle n'a pas connu depuis l'époque de la ceinture de sécurité au sud du Liban, qui a continué peu de temps après jusqu'aux années de la deuxième Intifada.
Le ministère israélien de la Défense a reconnu hier dimanche que le nombre de soldats blessés et handicapés dans les rangs de l'armée ennemie s'élevait à 78 000, en raison de la récente guerre.
Il a souligné que la plupart d’entre eux sont des soldats de réserve et que plus de 50% d’entre eux ont moins de trente ans.
Il a expliqué que 62% d'entre eux souffrent de blessures psychologiques et que 10% des blessés sont dans un état modéré à critique.
Il a déclaré que 194 soldats se trouvent actuellement dans les hôpitaux sionistes, selon le site Internet Al-Mayadeen.
Dans un contexte similaire, le site Internet du journal sioniste Yedioth Ahronoth a évoqué aujourd'hui, dimanche, les inquiétudes de l'état-major de l'armée ennemie sioniste, concernant la « grave pénurie de main-d'œuvre », alors que des estimations indiquent l'existence d'une « forte pression sur les soldats réguliers, qui ne retourneront pas chez eux dans les années à venir ».
Selon la Division des opérations de l'armée ennemie, on estime que l'entité occupante entrera dans une pénurie de main-d'œuvre pendant des années, ce qu'elle n'a pas connu depuis l'époque de la ceinture de sécurité au sud du Liban, qui a continué peu de temps après jusqu'aux années de la deuxième Intifada.