
Tulkarem-Saba :
Les forces d'occupation israéliennes (du soi-disant ‘isarel’) ont forcé ce samedi les derniers habitants du quartier de Murabba'a Hanoun dans le camp de réfugiés de Tulkarem à évacuer leurs maisons, au milieu de menaces et d'avertissements d'arrêter toute personne trouvée sur place.
L'agence de presse palestinienne WAFA a cité des témoins oculaires affirmant que les forces israéliennes avaient effectué des raids contre des maisons du quartier de Hanoun et forcé les habitants à partir sous la menace. Ils n'avaient que cinq minutes pour partir, et un soldat leur a annoncé que des bulldozers et des chars seraient déployés dans la zone.
Dans le même ordre d'idées, des unités d'infanterie se sont déployées massivement dans les ruelles du camp et ses environs, poursuivant les civils palestiniens qui tentaient de quitter leurs maisons et de récupérer leurs produits de première nécessité.
Les équipes de la Société du Croissant-Rouge palestinien (PRCS) ont aidé les personnes déplacées à évacuer le camp, en particulier les malades et les personnes âgées, dans un contexte humanitaire difficile créé par l'agression en cours contre la ville et ses deux camps.
Les forces ennemies sionistes ont également attaqué plusieurs maisons dans différents quartiers du camp, notamment Qaqun et Abu al-Foul, défonçant leurs portes et causant d'importants dégâts. Elles ont continué à tirer des bombes assourdissantes pour terroriser les habitants. Les forces ennemies ont saisi d'autres maisons à l'intérieur du camp, les transformant en casernes militaires et en postes de tireurs d'élite.
Le camp de Tulkarem est le théâtre d'une agression sioniste incessante depuis 48 jours, entraînant des déplacements massifs de population. Quelque 12 000 citoyens palestiniens, dont des femmes, des enfants, des personnes âgées et des malades, ont été contraints de quitter le camp et de chercher refuge dans des abris ou chez des proches dans la ville, ses banlieues et sa campagne.
Les forces d'occupation israéliennes (du soi-disant ‘isarel’) ont forcé ce samedi les derniers habitants du quartier de Murabba'a Hanoun dans le camp de réfugiés de Tulkarem à évacuer leurs maisons, au milieu de menaces et d'avertissements d'arrêter toute personne trouvée sur place.
L'agence de presse palestinienne WAFA a cité des témoins oculaires affirmant que les forces israéliennes avaient effectué des raids contre des maisons du quartier de Hanoun et forcé les habitants à partir sous la menace. Ils n'avaient que cinq minutes pour partir, et un soldat leur a annoncé que des bulldozers et des chars seraient déployés dans la zone.
Dans le même ordre d'idées, des unités d'infanterie se sont déployées massivement dans les ruelles du camp et ses environs, poursuivant les civils palestiniens qui tentaient de quitter leurs maisons et de récupérer leurs produits de première nécessité.
Les équipes de la Société du Croissant-Rouge palestinien (PRCS) ont aidé les personnes déplacées à évacuer le camp, en particulier les malades et les personnes âgées, dans un contexte humanitaire difficile créé par l'agression en cours contre la ville et ses deux camps.
Les forces ennemies sionistes ont également attaqué plusieurs maisons dans différents quartiers du camp, notamment Qaqun et Abu al-Foul, défonçant leurs portes et causant d'importants dégâts. Elles ont continué à tirer des bombes assourdissantes pour terroriser les habitants. Les forces ennemies ont saisi d'autres maisons à l'intérieur du camp, les transformant en casernes militaires et en postes de tireurs d'élite.
Le camp de Tulkarem est le théâtre d'une agression sioniste incessante depuis 48 jours, entraînant des déplacements massifs de population. Quelque 12 000 citoyens palestiniens, dont des femmes, des enfants, des personnes âgées et des malades, ont été contraints de quitter le camp et de chercher refuge dans des abris ou chez des proches dans la ville, ses banlieues et sa campagne.