Le ‘gouvernement’ hôtelier [autorités d'occupation "de facto" de la coalition d’agression US-saoudienne-émiratie’] : continuer à jouer la carte économique et l'effondrement tragique : rapport


https://www.saba.ye/fr/news3451480.htm

Agence de Presse Yéménite
Le ‘gouvernement’ hôtelier [autorités d'occupation
[16/ Mars/2025]
Sanaa - Saba : édité par Jamil Al-Qasham


Dans une démarche qui démontre encore plus sa faiblesse et sa fragilité, le soi-disant 'gouvernement’ hôtelier a menacé de déplacer le « soft » de Sanaa à Aden le 2 avril, une manœuvre visant à dissimuler son échec persistant à gérer les affaires économiques et à dissimuler les véritables problèmes auxquels sont confrontés les territoires occupés [par la coalition d’agression ‘US-saoudienne-émiratie’].



Cet échec survient alors que les territoires occupés connaissent une situation économique qui se détériore, dans un contexte de manifestations et de protestations populaires croissantes qui reflètent un mécontentement général face à la détérioration des conditions de vie.



Les citoyens des territoires occupés ne peuvent plus supporter les conséquences de la situation économique catastrophique imposée par un dollar sans précédent. Même les droits les plus élémentaires, comme l'eau et l'électricité, sont désormais inaccessibles.



Malgré la grave crise économique que traversent les provinces occupées, le ‘gouvernement’ mercenaire, qui se fait connaître depuis des hôtels à l'étranger, continue de chercher à justifier ces revers économiques et à exploiter la décision américaine pour dissimuler ses échecs et l'absence de véritables solutions à ses problèmes économiques. Ce gouvernement a commencé à utiliser cette décision comme un outil pour atteindre des objectifs politiques vengeurs qui nuisent aux intérêts du peuple.



Le ‘gouvernement’ hôtelier ne se contente pas de cela ; il tente de surfer sur la vague de l'embargo américain à des fins politiques étroites, alors que la pauvreté s'accroît dans la région. Comme à son habitude, il préfère exploiter les crises à son profit, au détriment des souffrances de la population et de la dégradation de ses conditions de vie.



Cette mesure vise à faire pression sur les banques pour qu’elles déménagent à Aden, mais ce que le 'gouvernement'
hôtelier oublie, c’est que cette décision n’est rien d’autre qu’une menace vide de sens fondée sur un échec désastreux dans la gestion des affaires financières, économiques et intérieures en général.




Le ‘gouvernement’ de l’hôtel, qui propage presque sans cesse des mensonges sur les sanctions américaines et leur impact économique, tente d’utiliser ces prétextes pour dissimuler son incapacité à gérer les crises successives qui frappent les citoyens des territoires occupés.



Lorsqu'ils évoquent l'impact des sanctions américaines sur les produits pétroliers, ils oublient que ces sanctions ne sont pas nouvelles et que le Yémen les a surmontées avec succès malgré des années d'agression. De plus, ‘ce gouvernement’ n'a proposé aucune solution concrète pour améliorer les conditions de vie difficiles dans les zones sous son contrôle. Au lieu de cela, il a persisté dans des slogans creux pour justifier son échec persistant.



D'un autre côté, certains pensent que le transfert du « logiciel » aura un impact positif sur la situation économique d'Aden. C'est une pure illusion. Le ‘gouvernement’ mercenaire, déjà affecté par la détérioration de la monnaie et la hausse des prix, ne parviendra pas à changer la réalité avec cette décision, qui ne fera que compliquer davantage la situation.



Les manifestations populaires dans les territoires occupés ont été une forte indication de l’ampleur de l’échec de 'ce gouvernement' et ont confirmé que les citoyens ont complètement perdu confiance dans sa capacité à apporter de véritables solutions.



La bataille économique au Yémen aujourd'hui est une bataille de volonté, de planification et de préparation pour relever les défis. Les dirigeants de Sanaa en ont fait la preuve au fil des ans. Ils ont acquis une vaste expérience face aux blocus et aux sanctions, et sont capables de gérer les répercussions de toute décision économique. Ils ne resteront pas les bras croisés face à toute tentative de jouer avec le feu.



Alors que les mercenaires s'efforcent de présenter la décision de transférer le « logiciel » comme une victoire économique qui ferait pencher la balance en leur faveur, la réalité continuera de prouver le contraire. L'énorme différence entre la réalité économique des territoires occupés et celle de Sanaa restera évidente pour tous, et les tentatives du ‘gouvernement’ hôtelier pour dissimuler son échec économique resteront vaines. Les experts économiques affirment que tenter de déplacer le logiciel à Aden ne serait rien d’autre qu’un nouveau pas vers l’échec, et que Sanaa, avec sa capacité à affronter et à planifier, sera toujours dans une position plus forte pour résister à toute tentative d’imposer une pression économique sur le peuple yéménite.



Les rapports indiquent également que la crise économique à laquelle sont confrontés les citoyens n’est pas seulement la conséquence d’une guerre ou d’une conspiration étrangère, mais plutôt le résultat direct d’une corruption généralisée au sein du ‘gouvernement’ hôtelier, qui contrôle les ressources à un moment où il fait face à une vague continue de protestations exigeant une vie décente et une autorité libre pour fournir des services et des droits, libre de tout contrôle étranger et de fonctionnaires corrompus.



La terrible réalité économique, reflétée par la détérioration des services publics dans les territoires occupés, confirme que la cause première de la crise réside dans l'échec lamentable du gouvernement mercenaire à gérer les ressources et à assurer le développement économique. L'occupation, qui impose son contrôle sur les décisions économiques et politiques de ses territoires, est devenue l'acteur principal de la détermination des politiques économiques, sans réelle volonté de changer ou d'améliorer la situation.

Les experts économiques affirment que tenter de déplacer le logiciel à Aden ne serait rien d’autre qu’un nouveau pas vers l’échec, et que Sanaa, avec sa capacité à affronter et à planifier, sera toujours dans une position plus forte pour résister à toute tentative d’imposer une pression économique sur le peuple yéménite.



Les rapports indiquent également que la crise économique à laquelle sont confrontés les citoyens n’est pas seulement la conséquence d’une guerre ou d’une conspiration étrangère, mais plutôt le résultat direct d’une corruption généralisée au sein du ‘gouvernement’ hôtelier, qui contrôle les ressources à un moment où il fait face à une vague continue de protestations exigeant une vie décente et une autorité libre pour fournir des services et des droits, libre de tout contrôle étranger et de fonctionnaires corrompus.



La terrible réalité économique, reflétée par la détérioration des services publics dans les territoires occupés, confirme que la cause première de la crise réside dans l'échec lamentable du ‘gouvernement’ mercenaire à gérer les ressources et à assurer le développement économique. L'occupation, qui impose son contrôle sur les décisions économiques et politiques de ses territoires, est devenue l'acteur principal de la détermination des politiques économiques, sans réelle volonté de changer ou d'améliorer la situation.