
Sanaa - Saba :
Le ministère de la Justice et des Droits de l'Homme a condamné hier samedi avec la plus grande fermeté l'agression américano-britannique contre la capitale, Sanaa, et le gouvernorat de Saada, qui a donné lieu hier à une série de frappes aériennes sur des quartiers résidentiels. Ces raids ont fait plus de 18 morts et blessés parmi les civils, dont des femmes et des enfants, selon un bilan préliminaire, et ont causé d'importants dégâts à plusieurs immeubles résidentiels.
Dans un communiqué reçu par l'Agence de presse yéménite (Saba), le ministère a qualifié l'agression perpétrée ce soir par les États-Unis de violation de la souveraineté du Yémen et de transgression flagrante du droit international humanitaire, du droit international des droits de l'homme, du droit pénal international et de toutes les normes, chartes et lois internationales. Elle révèle également l'ampleur du mépris américain pour le système humanitaire international.
Elle a souligné que le silence international et onusien a contribué de manière significative à ce que l’entité sioniste, soutenue par les États-Unis et la Grande-Bretagne, continue de mépriser le droit international et de commettre de nouveaux crimes contre les peuples de la région.
La déclaration a souligné que cette agression, qui constitue un soutien flagrant à l'entité sioniste et à ses crimes contre le peuple palestinien et les peuples de la région, en particulier en Syrie et au Liban, ne dissuadera ni n'intimidera le peuple yéménite de continuer à soutenir le peuple palestinien en tant que principe de foi, de moralité et d'humanité.
Le ministère a appelé la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité, les nations du monde et diverses organisations internationales et de défense des droits de l'homme, à condamner l'agression flagrante des États-Unis d’Amérique contre le Yémen, à mettre fin à l'agression sioniste (‘israélienne’ par le soi-disant ‘Israël’), américaine et britannique dans la région et à prendre des mesures sérieuses pour contraindre l'entité occupante et ses partisans à mettre fin aux crimes de génocide, de siège et de famine à Gaza.
Elle a affirmé le droit de la République du Yémen, garanti par toutes les lois divines et humaines, à défendre son peuple, sa souveraineté, son indépendance et son intégrité territoriale avec toutes les options disponibles et possibles.
La déclaration a salué les efforts des dirigeants révolutionnaires et politiques yéménites et des forces armées pour lever le siège du peuple palestinien dans la bande de Gaza et permettre l'entrée de l'aide humanitaire, réaffirmant le droit du peuple du Yémen à soutenir et à appuyer le peuple de la Palestine et sa juste cause.
Le ministère de la Justice et des Droits de l'Homme a également affirmé que ces crimes ne seront pas soumis à prescription et que le ministère continuera de surveiller tous les crimes et violations agressives contre le Yémen et son peuple en préparation du procès de l'entité et de ses partisans et de leur poursuite devant les tribunaux nationaux et internationaux.
Le ministère de la Justice et des Droits de l'Homme a condamné hier samedi avec la plus grande fermeté l'agression américano-britannique contre la capitale, Sanaa, et le gouvernorat de Saada, qui a donné lieu hier à une série de frappes aériennes sur des quartiers résidentiels. Ces raids ont fait plus de 18 morts et blessés parmi les civils, dont des femmes et des enfants, selon un bilan préliminaire, et ont causé d'importants dégâts à plusieurs immeubles résidentiels.
Dans un communiqué reçu par l'Agence de presse yéménite (Saba), le ministère a qualifié l'agression perpétrée ce soir par les États-Unis de violation de la souveraineté du Yémen et de transgression flagrante du droit international humanitaire, du droit international des droits de l'homme, du droit pénal international et de toutes les normes, chartes et lois internationales. Elle révèle également l'ampleur du mépris américain pour le système humanitaire international.
Elle a souligné que le silence international et onusien a contribué de manière significative à ce que l’entité sioniste, soutenue par les États-Unis et la Grande-Bretagne, continue de mépriser le droit international et de commettre de nouveaux crimes contre les peuples de la région.
La déclaration a souligné que cette agression, qui constitue un soutien flagrant à l'entité sioniste et à ses crimes contre le peuple palestinien et les peuples de la région, en particulier en Syrie et au Liban, ne dissuadera ni n'intimidera le peuple yéménite de continuer à soutenir le peuple palestinien en tant que principe de foi, de moralité et d'humanité.
Le ministère a appelé la communauté internationale, en particulier le Conseil de sécurité, les nations du monde et diverses organisations internationales et de défense des droits de l'homme, à condamner l'agression flagrante des États-Unis d’Amérique contre le Yémen, à mettre fin à l'agression sioniste (‘israélienne’ par le soi-disant ‘Israël’), américaine et britannique dans la région et à prendre des mesures sérieuses pour contraindre l'entité occupante et ses partisans à mettre fin aux crimes de génocide, de siège et de famine à Gaza.
Elle a affirmé le droit de la République du Yémen, garanti par toutes les lois divines et humaines, à défendre son peuple, sa souveraineté, son indépendance et son intégrité territoriale avec toutes les options disponibles et possibles.
La déclaration a salué les efforts des dirigeants révolutionnaires et politiques yéménites et des forces armées pour lever le siège du peuple palestinien dans la bande de Gaza et permettre l'entrée de l'aide humanitaire, réaffirmant le droit du peuple du Yémen à soutenir et à appuyer le peuple de la Palestine et sa juste cause.
Le ministère de la Justice et des Droits de l'Homme a également affirmé que ces crimes ne seront pas soumis à prescription et que le ministère continuera de surveiller tous les crimes et violations agressives contre le Yémen et son peuple en préparation du procès de l'entité et de ses partisans et de leur poursuite devant les tribunaux nationaux et internationaux.