
Gaza-Saba :
La municipalité de Gaza a mis en garde aujourd’hui contre la gravité de la situation humanitaire et sanitaire dans la ville, conséquence de la fermeture continue des points de passage par l'ennemi sioniste et de l'interdiction d'entrée du carburant et des sources d'énergie nécessaires au fonctionnement des installations et services essentiels. La municipalité a souligné que ces mesures arbitraires menacent d'aggraver la situation et de couper l'accès à la vie et à l'eau dans la ville.
La municipalité a déclaré dans un communiqué de presse dimanche que l'ennemi ‘israélien’ du soi-disant ‘Israël’ poursuit ses politiques arbitraires en interrompant l'approvisionnement en carburant et en énergie et en menaçant d'arrêter le pompage de l'eau du pipeline Mekorot, une artère majeure d'approvisionnement en eau de la ville, qui couvre actuellement environ 70% de ses besoins quotidiens.
La municipalité a souligné que l'arrêt de l'approvisionnement en électricité entraînerait une paralysie quasi totale des installations d'eau et d'assainissement, ainsi que la suspension de nombreux autres services vitaux, aggravant la catastrophe humanitaire et sanitaire dont souffre la ville au milieu de l'agression en cours.
Elle a souligné que la fermeture du pipeline de Mekorot entraînerait une grave crise de l’eau dans la ville, menaçant la vie humaine, détériorant la santé publique et provoquant la propagation de maladies.
La municipalité de Gaza a appelé l'ONU et les organisations et institutions internationales à intervenir d'urgence pour sauver la ville de la détérioration des conditions humanitaires, faire pression sur l'ennemi sioniste pour qu'il respecte les lois et conventions internationales et assurer la fourniture sans entrave des ressources énergétiques et hydriques.
Au début de ce mois, la première phase de l’accord, qui a duré 42 jours, a pris fin, et les forces ennemies refusent d’entrer dans la deuxième phase, qui comprend la fin de l’agression.
Alors que la première phase de l'accord de cessez-le-feu prend fin, les forces israéliennes ont une fois de plus fermé tous les points de passage vers Gaza de la Palestine pour empêcher l'entrée de l'aide humanitaire et menacent de nouvelles mesures d'escalade, pouvant conduire à la reprise de la guerre génocidaire.
La guerre génocidaire perpétrée par l’ennemi sioniste dans la bande de Gaza entre le 7 octobre 2023 et le 19 janvier, avec le soutien des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de plusieurs pays européens, a fait plus de 160 000 morts et blessés parmi les Palestiniens, la plupart étant des enfants et des femmes, et plus de 11 000 disparus, marquant l’une des pires catastrophes humanitaires au monde.
La municipalité de Gaza a mis en garde aujourd’hui contre la gravité de la situation humanitaire et sanitaire dans la ville, conséquence de la fermeture continue des points de passage par l'ennemi sioniste et de l'interdiction d'entrée du carburant et des sources d'énergie nécessaires au fonctionnement des installations et services essentiels. La municipalité a souligné que ces mesures arbitraires menacent d'aggraver la situation et de couper l'accès à la vie et à l'eau dans la ville.
La municipalité a déclaré dans un communiqué de presse dimanche que l'ennemi ‘israélien’ du soi-disant ‘Israël’ poursuit ses politiques arbitraires en interrompant l'approvisionnement en carburant et en énergie et en menaçant d'arrêter le pompage de l'eau du pipeline Mekorot, une artère majeure d'approvisionnement en eau de la ville, qui couvre actuellement environ 70% de ses besoins quotidiens.
La municipalité a souligné que l'arrêt de l'approvisionnement en électricité entraînerait une paralysie quasi totale des installations d'eau et d'assainissement, ainsi que la suspension de nombreux autres services vitaux, aggravant la catastrophe humanitaire et sanitaire dont souffre la ville au milieu de l'agression en cours.
Elle a souligné que la fermeture du pipeline de Mekorot entraînerait une grave crise de l’eau dans la ville, menaçant la vie humaine, détériorant la santé publique et provoquant la propagation de maladies.
La municipalité de Gaza a appelé l'ONU et les organisations et institutions internationales à intervenir d'urgence pour sauver la ville de la détérioration des conditions humanitaires, faire pression sur l'ennemi sioniste pour qu'il respecte les lois et conventions internationales et assurer la fourniture sans entrave des ressources énergétiques et hydriques.
Au début de ce mois, la première phase de l’accord, qui a duré 42 jours, a pris fin, et les forces ennemies refusent d’entrer dans la deuxième phase, qui comprend la fin de l’agression.
Alors que la première phase de l'accord de cessez-le-feu prend fin, les forces israéliennes ont une fois de plus fermé tous les points de passage vers Gaza de la Palestine pour empêcher l'entrée de l'aide humanitaire et menacent de nouvelles mesures d'escalade, pouvant conduire à la reprise de la guerre génocidaire.
La guerre génocidaire perpétrée par l’ennemi sioniste dans la bande de Gaza entre le 7 octobre 2023 et le 19 janvier, avec le soutien des États-Unis, de la Grande-Bretagne et de plusieurs pays européens, a fait plus de 160 000 morts et blessés parmi les Palestiniens, la plupart étant des enfants et des femmes, et plus de 11 000 disparus, marquant l’une des pires catastrophes humanitaires au monde.