L'opposition néo-zélandaise est à la tête d'un projet de loi visant à imposer des sanctions à l'entité sioniste (‘israélienne’)


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Agence de Presse Yéménite
L'opposition néo-zélandaise est à la tête d'un projet de loi visant à imposer des sanctions à l'entité sioniste (‘israélienne’)
[16/ Mars/2025]
Auckland-Saba :

L'opposition politique néo-zélandaise mène une initiative visant à introduire un projet de loi devant le Parlement visant à imposer des sanctions à l'entité sioniste (‘Israël’) pour son occupation illégale des territoires palestiniens et ses crimes de guerre brutaux contre le peuple de la Palestine.



Le nouveau projet de loi, porté par le Parti vert néo-zélandais, a reçu le soutien de toutes les composantes de l'opposition parlementaire du pays, principalement des partis travailliste et maori.



La loi proposée reflète une évolution significative du discours politique néo-zélandais sur la question palestinienne, avec des personnalités d'autres partis d'opposition cherchant à promouvoir une politique étrangère plus équilibrée qui soutient les droits du peuple palestinien et critique les deux poids deux mesures dans les attitudes internationales envers l'ennemi israélien.



Le Parti vert est l'une des forces politiques les plus importantes, prônant des positions plus explicites en faveur des droits des Palestiniens. Il a publiquement condamné l'agression israélienne et appelé à un cessez-le-feu à Gaza.



Ces dernières années, la Nouvelle-Zélande a constaté une nette augmentation des positions des partis d'opposition sur la question palestinienne. Ces partis sont devenus des voix critiques face aux violations commises par l'entité sioniste dans les territoires occupés, notamment suite à l'escalade de l'agression contre Gaza et la Cisjordanie.



Ces positions ont pris de l’ampleur, notamment depuis 2023, lorsque certains partis politiques ont adopté des positions plus affirmées condamnant les crimes de guerre commis par l’entité sioniste et ont appelé le gouvernement néo-zélandais à adopter une position plus stricte à l’encontre de l’entité occupante.