Sanaa - Saba :
Une source responsable de la Banque centrale du Yémen (BCY) a mis en garde aujourd’hui vendredi les mercenaires de ‘l'agression US-saoudienne-émiratie’ (autorités d'occupant "de facto" à Aden) contre la poursuite du harcèlement et des menaces contre les banques yéménites. Cela s’inscrit dans le cadre de leur ciblage de l’économie nationale et de leur utilisation de la soi-disant désignation américaine pour menacer le secteur bancaire, à la demande directe de leurs sponsors saoudiens et émiratis, au service de l’ennemi de l’Amérique (Etats-Unis d’Amérique).
La source a expliqué, dans une déclaration à l'agence de presse yéménite (Saba), que les mercenaires de l'agression américano-saoudienne tentent d'exploiter la soi-disant classification américaine pour menacer et intimider le secteur bancaire, pour forcer les banques à leur répondre ou elles informeront leurs sponsors en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis de se coordonner avec l'ennemi américain et d'être incluses dans les listes de sanctions.
La source a ajouté : « Les mercenaires de l'agression américano-saoudienne ont continué à menacer d'imposer un blocus sur les aéroports et les ports yéménites », notant que cela sert l'ennemi américain et sioniste, en raison de la position honorable du peuple yéménite qui soutient et appuie le peuple palestinien opprimé dans la bande de Gaza et la cause palestinienne.»
Elle a souligné que les mercenaires du régime saoudien ont constamment et publiquement exprimé leur volonté de faire face au blocus imposé à l'entité sioniste (‘israélienne’ du soi-disant ‘Israël’) par le Yémen, en clair accord avec les ennemis américains et israéliens.
La source a noté que les mercenaires de l'agression n'auraient entrepris aucune action sans recevoir d'ordres de leurs sponsors en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, soulignant que les expériences passées l'ont révélé au peuple yéménite, qui est désormais pleinement conscient que les États d'agression sont ceux qui mobilisent les mercenaires et travaillent au profit de l'ennemi américano-israélien.
Elle a souligné que le front économique reste cohérent, grâce à Dieu Tout-Puissant, aux efforts de toutes les institutions de l'État et à la conscience populaire, et que la Banque centrale remplit son devoir de protéger le secteur bancaire de l'extorsion des mercenaires de l'agression.
La source a ajouté : « Les institutions de l'État agissent de manière responsable et remplissent leur rôle, en plaçant les intérêts du peuple yéménite au-dessus de toute autre considération, et ne permettront aucune atteinte à leurs conditions de vie et économiques. »
La source a estimé que toute mesure prise par les mercenaires (autorités d’occupation « de facto » imposée par la coalition d’agression ‘US-saoudienne-émiratie’), que ce soit directement ou par l'intermédiaire de l'ennemi américain, serait supportée par le régime saoudien, qui ne serait pas à l'abri d'eux, car cela constituerait une violation claire de l'accord de trêve et un renversement direct de tous les accords antérieurs, et il en subirait toutes les conséquences.
Une source responsable de la Banque centrale du Yémen (BCY) a mis en garde aujourd’hui vendredi les mercenaires de ‘l'agression US-saoudienne-émiratie’ (autorités d'occupant "de facto" à Aden) contre la poursuite du harcèlement et des menaces contre les banques yéménites. Cela s’inscrit dans le cadre de leur ciblage de l’économie nationale et de leur utilisation de la soi-disant désignation américaine pour menacer le secteur bancaire, à la demande directe de leurs sponsors saoudiens et émiratis, au service de l’ennemi de l’Amérique (Etats-Unis d’Amérique).
La source a expliqué, dans une déclaration à l'agence de presse yéménite (Saba), que les mercenaires de l'agression américano-saoudienne tentent d'exploiter la soi-disant classification américaine pour menacer et intimider le secteur bancaire, pour forcer les banques à leur répondre ou elles informeront leurs sponsors en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis de se coordonner avec l'ennemi américain et d'être incluses dans les listes de sanctions.
La source a ajouté : « Les mercenaires de l'agression américano-saoudienne ont continué à menacer d'imposer un blocus sur les aéroports et les ports yéménites », notant que cela sert l'ennemi américain et sioniste, en raison de la position honorable du peuple yéménite qui soutient et appuie le peuple palestinien opprimé dans la bande de Gaza et la cause palestinienne.»
Elle a souligné que les mercenaires du régime saoudien ont constamment et publiquement exprimé leur volonté de faire face au blocus imposé à l'entité sioniste (‘israélienne’ du soi-disant ‘Israël’) par le Yémen, en clair accord avec les ennemis américains et israéliens.
La source a noté que les mercenaires de l'agression n'auraient entrepris aucune action sans recevoir d'ordres de leurs sponsors en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis, soulignant que les expériences passées l'ont révélé au peuple yéménite, qui est désormais pleinement conscient que les États d'agression sont ceux qui mobilisent les mercenaires et travaillent au profit de l'ennemi américano-israélien.
Elle a souligné que le front économique reste cohérent, grâce à Dieu Tout-Puissant, aux efforts de toutes les institutions de l'État et à la conscience populaire, et que la Banque centrale remplit son devoir de protéger le secteur bancaire de l'extorsion des mercenaires de l'agression.
La source a ajouté : « Les institutions de l'État agissent de manière responsable et remplissent leur rôle, en plaçant les intérêts du peuple yéménite au-dessus de toute autre considération, et ne permettront aucune atteinte à leurs conditions de vie et économiques. »
La source a estimé que toute mesure prise par les mercenaires (autorités d’occupation « de facto » imposée par la coalition d’agression ‘US-saoudienne-émiratie’), que ce soit directement ou par l'intermédiaire de l'ennemi américain, serait supportée par le régime saoudien, qui ne serait pas à l'abri d'eux, car cela constituerait une violation claire de l'accord de trêve et un renversement direct de tous les accords antérieurs, et il en subirait toutes les conséquences.