
Saada – SABA :
Aujourd’hui, des avions de combat américains ont de nouveau ciblé l’hôpital d’oncologie Al-Rasool Al-Azam, dans la province de Saada.
Il s’agit de la deuxième attaque contre cet établissement, en violation flagrante du droit international et humanitaire.
Une source sécuritaire à Saada a déclaré à l’Agence de presse yéménite (SABA) que l’agression américaine avait visé l’hôpital pour la deuxième fois, entraînant sa destruction.
Cette attaque survient quelques jours seulement après que le même hôpital a été touché par de multiples frappes aériennes.
Le Secteur des droits de l’homme de la province de Saada a réitéré sa condamnation de la poursuite de l’agression américaine contre l’hôpital d’oncologie Al-Rasool Al-Azam.
Il a souligné que cibler des installations civiles constitue une violation flagrante du droit international et humanitaire, et a tenu les États-Unis pleinement responsables des attaques contre des sites et infrastructures civils.
Quelques jours plus tôt, les forces américaines avaient délibérément lancé 13 frappes aériennes sur l’hôpital, causant d’importantes destructions et des dommages catastrophiques à ses installations vitales.
Le Fonds de lutte contre le cancer a également condamné l'attaque américaine contre l'hôpital de cancérologie Al-Rasool Al-Azam à Saada.
Le Fonds a appelé la communauté internationale, les organisations de défense des droits de l'homme, les pays islamiques et tous les peuples libres du monde à adopter une position ferme contre cette agression barbare et à agir d'urgence pour empêcher la poursuite de tels crimes, qui s'inscrivent dans la politique génocidaire menée par les États-Unis et Israël dans la région.
Il a en outre affirmé que ce crime s'inscrit dans le cadre d'un plan américain systématique visant le peuple yéménite depuis des années, par des bombardements et un blocus étouffant, ce qui a entraîné une aggravation de la situation sanitaire et la propagation de maladies mortelles, notamment le cancer.
Cette maladie s'est propagée en raison de l'utilisation d'armes interdites au niveau international depuis 2015.
Aujourd’hui, des avions de combat américains ont de nouveau ciblé l’hôpital d’oncologie Al-Rasool Al-Azam, dans la province de Saada.
Il s’agit de la deuxième attaque contre cet établissement, en violation flagrante du droit international et humanitaire.
Une source sécuritaire à Saada a déclaré à l’Agence de presse yéménite (SABA) que l’agression américaine avait visé l’hôpital pour la deuxième fois, entraînant sa destruction.
Cette attaque survient quelques jours seulement après que le même hôpital a été touché par de multiples frappes aériennes.
Le Secteur des droits de l’homme de la province de Saada a réitéré sa condamnation de la poursuite de l’agression américaine contre l’hôpital d’oncologie Al-Rasool Al-Azam.
Il a souligné que cibler des installations civiles constitue une violation flagrante du droit international et humanitaire, et a tenu les États-Unis pleinement responsables des attaques contre des sites et infrastructures civils.
Quelques jours plus tôt, les forces américaines avaient délibérément lancé 13 frappes aériennes sur l’hôpital, causant d’importantes destructions et des dommages catastrophiques à ses installations vitales.
Le Fonds de lutte contre le cancer a également condamné l'attaque américaine contre l'hôpital de cancérologie Al-Rasool Al-Azam à Saada.
Le Fonds a appelé la communauté internationale, les organisations de défense des droits de l'homme, les pays islamiques et tous les peuples libres du monde à adopter une position ferme contre cette agression barbare et à agir d'urgence pour empêcher la poursuite de tels crimes, qui s'inscrivent dans la politique génocidaire menée par les États-Unis et Israël dans la région.
Il a en outre affirmé que ce crime s'inscrit dans le cadre d'un plan américain systématique visant le peuple yéménite depuis des années, par des bombardements et un blocus étouffant, ce qui a entraîné une aggravation de la situation sanitaire et la propagation de maladies mortelles, notamment le cancer.
Cette maladie s'est propagée en raison de l'utilisation d'armes interdites au niveau international depuis 2015.