Bruxelles - Saba :
La directrice des médias et de la communication de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), a révélé ce jeudi que la nourriture, l'eau et les médicaments ne sont plus disponibles dans la bande de Gaza depuis début mars en raison de la fermeture des points de passage et du renforcement du blocus.
"Depuis le 2 mars, aucune nourriture, eau, médicament ou approvisionnement commercial n'a été autorisé à entrer à Gaza en raison du blocus en cours imposé par les autorités israéliennes", a déclaré Juliette Touma, lors d'une conférence de presse à Bruxelles jeudi.
Toma a souligné que « c'est la plus longue période d'interruption depuis le début de la guerre sioniste ».
« Chaque jour sans provisions signifie que les enfants se couchent le ventre vide », a souligné Toma.
À l'aube du 18 mars, l'ennemi a repris son génocide dans la bande de Gaza, reniant l'accord de cessez-le-feu et d'échange de prisonniers conclu le 19 janvier. Ceci a été suivi par l'annonce du début des opérations terrestres dans la bande, comme pour revenir à la case départ.
La directrice des médias et de la communication de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), a révélé ce jeudi que la nourriture, l'eau et les médicaments ne sont plus disponibles dans la bande de Gaza depuis début mars en raison de la fermeture des points de passage et du renforcement du blocus.
"Depuis le 2 mars, aucune nourriture, eau, médicament ou approvisionnement commercial n'a été autorisé à entrer à Gaza en raison du blocus en cours imposé par les autorités israéliennes", a déclaré Juliette Touma, lors d'une conférence de presse à Bruxelles jeudi.
Toma a souligné que « c'est la plus longue période d'interruption depuis le début de la guerre sioniste ».
« Chaque jour sans provisions signifie que les enfants se couchent le ventre vide », a souligné Toma.
À l'aube du 18 mars, l'ennemi a repris son génocide dans la bande de Gaza, reniant l'accord de cessez-le-feu et d'échange de prisonniers conclu le 19 janvier. Ceci a été suivi par l'annonce du début des opérations terrestres dans la bande, comme pour revenir à la case départ.