Genève - Saba :
La présidente du Comité international de la Croix-Rouge, Mirjana Spoljaric Egger, a qualifié vendredi la situation humanitaire dans la bande de Gaza d'« enfer sur terre » et a averti que les fournitures de l'hôpital de campagne de l'organisation seraient épuisées d'ici deux semaines.
« Nous nous trouvons désormais dans une situation que je dois décrire comme un enfer sur terre », a-t-elle déclaré à Reuters depuis le siège du comité à Genève. « Dans de nombreuses régions, les gens n’ont pas accès à l’eau, à l’électricité ou à la nourriture. »
Les réserves sont dangereusement basses, a déclaré Spoljaric.
« Depuis six semaines, rien n'est entré, donc d'ici deux semaines, nous n'aurons plus les fournitures nécessaires pour faire fonctionner l'hôpital », a-t-elle ajouté.
L’Organisation mondiale de la santé a déclaré que les réserves d’antibiotiques et de poches de sang s’épuisent rapidement.
Richard Peeperkorn, le représentant de l'Organisation mondiale de la santé dans les territoires palestiniens, a déclaré aux journalistes à Genève par liaison vidéo depuis Jérusalem que 22 des 36 hôpitaux de la bande de Gaza fonctionnaient à capacité minimale.
Le chef de la Croix-Rouge a également exprimé son inquiétude quant à la sécurité des opérations humanitaires.
« Les mouvements de population sont très dangereux, mais ils sont particulièrement dangereux pour notre travail », a déclaré Spoljaric.
Aucune aide humanitaire n’est entrée dans la bande de Gaza depuis que les forces israéliennes ont bloqué l’entrée des camions le 2 mars. L’ennemi sioniste a repris son agression militaire sur la bande de Gaza le 18 mars.
La présidente du Comité international de la Croix-Rouge, Mirjana Spoljaric Egger, a qualifié vendredi la situation humanitaire dans la bande de Gaza d'« enfer sur terre » et a averti que les fournitures de l'hôpital de campagne de l'organisation seraient épuisées d'ici deux semaines.
« Nous nous trouvons désormais dans une situation que je dois décrire comme un enfer sur terre », a-t-elle déclaré à Reuters depuis le siège du comité à Genève. « Dans de nombreuses régions, les gens n’ont pas accès à l’eau, à l’électricité ou à la nourriture. »
Les réserves sont dangereusement basses, a déclaré Spoljaric.
« Depuis six semaines, rien n'est entré, donc d'ici deux semaines, nous n'aurons plus les fournitures nécessaires pour faire fonctionner l'hôpital », a-t-elle ajouté.
L’Organisation mondiale de la santé a déclaré que les réserves d’antibiotiques et de poches de sang s’épuisent rapidement.
Richard Peeperkorn, le représentant de l'Organisation mondiale de la santé dans les territoires palestiniens, a déclaré aux journalistes à Genève par liaison vidéo depuis Jérusalem que 22 des 36 hôpitaux de la bande de Gaza fonctionnaient à capacité minimale.
Le chef de la Croix-Rouge a également exprimé son inquiétude quant à la sécurité des opérations humanitaires.
« Les mouvements de population sont très dangereux, mais ils sont particulièrement dangereux pour notre travail », a déclaré Spoljaric.
Aucune aide humanitaire n’est entrée dans la bande de Gaza depuis que les forces israéliennes ont bloqué l’entrée des camions le 2 mars. L’ennemi sioniste a repris son agression militaire sur la bande de Gaza le 18 mars.