
New York-Saba :
Le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a confirmé que la situation humanitaire dans la bande de Gaza est « probablement la pire » depuis que l'entité israélienne a commencé sa guerre contre la bande, coïncidant avec l'ennemi israélien empêchant l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande.
"La situation humanitaire est probablement la pire depuis le début de la guerre, il y a 18 mois", a déclaré lundi le bureau dans un communiqué, soulignant que cela fait un mois et demi qu'aucune approvisionnement n'a été autorisé à entrer à Gaza par les points de passage, la plus longue période de rupture d'approvisionnement à ce jour.
Depuis le 7 octobre 2023, les forces israéliennes ont lancé une offensive sur la bande de Gaza, entraînant la mort de 50 983 civils palestiniens, dont la majorité étaient des enfants et des femmes, et la blessure de 116 274 autres. Il s'agit d'un bilan préliminaire, un certain nombre de victimes étant encore ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.
Le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a confirmé que la situation humanitaire dans la bande de Gaza est « probablement la pire » depuis que l'entité israélienne a commencé sa guerre contre la bande, coïncidant avec l'ennemi israélien empêchant l'entrée de l'aide humanitaire dans la bande.
"La situation humanitaire est probablement la pire depuis le début de la guerre, il y a 18 mois", a déclaré lundi le bureau dans un communiqué, soulignant que cela fait un mois et demi qu'aucune approvisionnement n'a été autorisé à entrer à Gaza par les points de passage, la plus longue période de rupture d'approvisionnement à ce jour.
Depuis le 7 octobre 2023, les forces israéliennes ont lancé une offensive sur la bande de Gaza, entraînant la mort de 50 983 civils palestiniens, dont la majorité étaient des enfants et des femmes, et la blessure de 116 274 autres. Il s'agit d'un bilan préliminaire, un certain nombre de victimes étant encore ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.