
Paris-Saba :
Les organisations de journalistes en France ont condamné aujour’dhui mardi le « massacre sans précédent » de leurs collègues à Gaza, qui a coûté la vie à plus de 200 personnes depuis le 7 octobre 2023.
Ces organisations ont souligné que l’armée ennemie israélienne ( du soi-disant ‘Israël’) cherche à imposer un black-out médiatique à Gaza et à faire taire autant que possible les témoins des crimes de guerre commis par ses forces.
Dans un article publié dans le journal français Le Monde, les organisations soulignent que « cette volonté d'entraver la diffusion de l'information se reflète également dans le refus du gouvernement israélien d'autoriser l'accès de la presse étrangère à la bande de Gaza ».
Ces organisations ont appelé à « des manifestations simultanées mercredi, devant l'Opéra Bastille à Paris et au Vieux-Port à Marseille ».
Ces organisations comprennent le Syndicat national des journalistes, la Confédération générale du travail, la Confédération française démocratique du travail, Reporters sans frontières, la Fédération internationale des journalistes et une quarantaine de groupes de journalistes ou de rédactions de divers médias.
Depuis le 7 octobre 2023, le nombre de journalistes tués dans la bande de Gaza a atteint 211, selon le bureau des médias du gouvernement dans la bande.
Le 18 mars, les forces ennemies israéliennes ont renié l’accord de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers en vigueur depuis le 19 janvier et ont repris leur guerre génocidaire dans la bande de Gaza dévastée.
Depuis le 7 octobre 2023, les forces ennemies israéliennes, avec le soutien total des États-Unis, commettent un génocide dans la bande de Gaza assiégée, faisant plus de 166 000 morts et blessés parmi les Palestiniens, la plupart étant des enfants et des femmes, et plus de 11 000 disparus.
Les forces ennemies israéliennes ont rouvert mardi les entrées et sorties de la ville de Jéricho après les avoir fermées pendant des heures, empêchant l'entrée et la sortie.
L'agence de presse palestinienne WAFA a rapporté que l'ennemi israélien a rouvert ses points de contrôle militaires aux entrées de la ville dans les deux sens après une fermeture qui a duré plus de six heures, au cours de laquelle des dizaines de citoyens palestiniens ont été contraints de dormir dans leurs véhicules.
WAFA a rapporté que les forces ennemies ont renforcé leurs mesures militaires sur les routes de terre et les routes de contournement de Jéricho.
Les organisations de journalistes en France ont condamné aujour’dhui mardi le « massacre sans précédent » de leurs collègues à Gaza, qui a coûté la vie à plus de 200 personnes depuis le 7 octobre 2023.
Ces organisations ont souligné que l’armée ennemie israélienne ( du soi-disant ‘Israël’) cherche à imposer un black-out médiatique à Gaza et à faire taire autant que possible les témoins des crimes de guerre commis par ses forces.
Dans un article publié dans le journal français Le Monde, les organisations soulignent que « cette volonté d'entraver la diffusion de l'information se reflète également dans le refus du gouvernement israélien d'autoriser l'accès de la presse étrangère à la bande de Gaza ».
Ces organisations ont appelé à « des manifestations simultanées mercredi, devant l'Opéra Bastille à Paris et au Vieux-Port à Marseille ».
Ces organisations comprennent le Syndicat national des journalistes, la Confédération générale du travail, la Confédération française démocratique du travail, Reporters sans frontières, la Fédération internationale des journalistes et une quarantaine de groupes de journalistes ou de rédactions de divers médias.
Depuis le 7 octobre 2023, le nombre de journalistes tués dans la bande de Gaza a atteint 211, selon le bureau des médias du gouvernement dans la bande.
Le 18 mars, les forces ennemies israéliennes ont renié l’accord de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers en vigueur depuis le 19 janvier et ont repris leur guerre génocidaire dans la bande de Gaza dévastée.
Depuis le 7 octobre 2023, les forces ennemies israéliennes, avec le soutien total des États-Unis, commettent un génocide dans la bande de Gaza assiégée, faisant plus de 166 000 morts et blessés parmi les Palestiniens, la plupart étant des enfants et des femmes, et plus de 11 000 disparus.
Les forces ennemies israéliennes ont rouvert mardi les entrées et sorties de la ville de Jéricho après les avoir fermées pendant des heures, empêchant l'entrée et la sortie.
L'agence de presse palestinienne WAFA a rapporté que l'ennemi israélien a rouvert ses points de contrôle militaires aux entrées de la ville dans les deux sens après une fermeture qui a duré plus de six heures, au cours de laquelle des dizaines de citoyens palestiniens ont été contraints de dormir dans leurs véhicules.
WAFA a rapporté que les forces ennemies ont renforcé leurs mesures militaires sur les routes de terre et les routes de contournement de Jéricho.