
Ramallah - Saba :
Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a annoncé mercredi son rejet de toute atteinte aux allocations et aux droits des prisonniers, appelant à l'abolition de toutes les mesures punitives contre eux et leurs familles, et à la promulgation de lois qui protègent leurs droits et garantissent leur dignité et une vie décente.
Dans une déclaration marquant la Journée des prisonniers palestiniens (17 avril), le Front populaire a appelé à « la formulation d'une stratégie nationale globale pour la question des prisonniers, la transformant d'un modèle saisonnier en une lutte quotidienne globale à laquelle tout le monde participe ».
Dans sa déclaration, il a renouvelé son « engagement de loyauté » envers les prisonniers, hommes et femmes, dans les prisons ennemies et a appelé à ce que leur cause soit placée au premier plan de l'action nationale, sur le terrain, officielle et populaire.
Il a ajouté : « La résistance s'engage à briser les chaînes de la captivité et à travailler dur pour les libérer tous, sans exception. »
Le Front populaire a appelé la communauté internationale et ses organisations de défense des droits de l'homme, en particulier la Cour pénale internationale, à « briser l'état de paralysie et de complicité honteuse, à prendre des mesures urgentes pour tenir l'ennemi responsable de ses crimes contre les prisonniers et à imposer des sanctions qui mettront fin à ces violations. »
Le FPLP a appelé à l'envoi urgent de missions internationales soutenues pour découvrir le sort de milliers de prisonniers de Gaza portés disparus, détenus dans des camps secrets et des quartiers d'isolement, et soumis à des tortures brutales dans les abattoirs ennemis, notamment le camp de « Sde Teiman ». Il s’agit d’un crime de guerre à part entière et nécessite une action urgente de la part des organisations internationales, notamment du Comité international de la Croix-Rouge, qui a éludé ses responsabilités, selon le communiqué.
Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a annoncé mercredi son rejet de toute atteinte aux allocations et aux droits des prisonniers, appelant à l'abolition de toutes les mesures punitives contre eux et leurs familles, et à la promulgation de lois qui protègent leurs droits et garantissent leur dignité et une vie décente.
Dans une déclaration marquant la Journée des prisonniers palestiniens (17 avril), le Front populaire a appelé à « la formulation d'une stratégie nationale globale pour la question des prisonniers, la transformant d'un modèle saisonnier en une lutte quotidienne globale à laquelle tout le monde participe ».
Dans sa déclaration, il a renouvelé son « engagement de loyauté » envers les prisonniers, hommes et femmes, dans les prisons ennemies et a appelé à ce que leur cause soit placée au premier plan de l'action nationale, sur le terrain, officielle et populaire.
Il a ajouté : « La résistance s'engage à briser les chaînes de la captivité et à travailler dur pour les libérer tous, sans exception. »
Le Front populaire a appelé la communauté internationale et ses organisations de défense des droits de l'homme, en particulier la Cour pénale internationale, à « briser l'état de paralysie et de complicité honteuse, à prendre des mesures urgentes pour tenir l'ennemi responsable de ses crimes contre les prisonniers et à imposer des sanctions qui mettront fin à ces violations. »
Le FPLP a appelé à l'envoi urgent de missions internationales soutenues pour découvrir le sort de milliers de prisonniers de Gaza portés disparus, détenus dans des camps secrets et des quartiers d'isolement, et soumis à des tortures brutales dans les abattoirs ennemis, notamment le camp de « Sde Teiman ». Il s’agit d’un crime de guerre à part entière et nécessite une action urgente de la part des organisations internationales, notamment du Comité international de la Croix-Rouge, qui a éludé ses responsabilités, selon le communiqué.