Sanaa, Saba :
Le Conseil de promotion du tourisme a condamné aujourd’hui jeudi la contrebande et la vente d'antiquités yéménites lors de ventes aux enchères sionistes et occidentales.
Dans une déclaration reçue par l'Agence de presse yéménite (Saba), le Conseil a considéré ces crimes comme une attaque flagrante contre le patrimoine culturel et historique du Yémen et une violation du droit du peuple à préserver son patrimoine culturel ancien.
Il a souligné que ces pratiques sont une extension du ciblage systématique des capacités culturelles et patrimoniales du Yémen dans le cadre de l'agression globale et systématique à laquelle il est soumis par l'ennemi sioniste-américain.
Le Conseil a expliqué qu'il avait récemment observé la plateforme commerciale sioniste « Bed Esprit » proposant des objets d'art yéménites volés à la vente dans l'entité sioniste (‘israélienne’ du soi-disant ‘Israël’), dans ce qu'on appelle « Tel Aviv » (Jaffa). Ces artefacts comprenaient une petite statue en bronze du Sphinx, datant de la période hellénistique (du IIe au IVe siècle avant J.-C.). Cette statue est considérée comme une partie authentique de la civilisation yéménite.
Il a souligné que la tenue de cette vente aux enchères constitue une violation flagrante des lois internationales et locales protégeant le patrimoine culturel humain et contrevient à tous les principes éthiques.
Le Conseil de promotion du tourisme a demandé à la communauté internationale, à l’UNESCO et à toutes les parties concernées par la protection du patrimoine de prendre des mesures immédiates pour mettre fin à cette vente aux enchères illégale et restituer les antiquités volées au Yémen.
Il a souligné que la protection des antiquités yéménites est une responsabilité nationale, et que les autorités officielles chargées de la protection des antiquités n'hésiteront pas à utiliser tous les moyens pour récupérer chaque artefact volé, et que le Conseil fera tout son possible pour coopérer avec elles.
Le Conseil a lancé un appel urgent aux citoyens, aux organisations de la société civile, aux professionnels des médias et aux militants du monde entier pour qu’ils contribuent à dénoncer ces crimes et à sensibiliser à l’importance de préserver le patrimoine yéménite en tant que pilier fondamental de l’identité nationale et du patrimoine humain.
Il a réitéré son engagement indéfectible en faveur de la protection des antiquités, en raison de son rôle dans leur promotion en tant que droit yéménite et culturel, soulignant que la récupération des antiquités de contrebande n'est pas une option, mais plutôt un droit qui ne peut être ni reporté ni compromis.
Le Conseil de promotion du tourisme a condamné aujourd’hui jeudi la contrebande et la vente d'antiquités yéménites lors de ventes aux enchères sionistes et occidentales.
Dans une déclaration reçue par l'Agence de presse yéménite (Saba), le Conseil a considéré ces crimes comme une attaque flagrante contre le patrimoine culturel et historique du Yémen et une violation du droit du peuple à préserver son patrimoine culturel ancien.
Il a souligné que ces pratiques sont une extension du ciblage systématique des capacités culturelles et patrimoniales du Yémen dans le cadre de l'agression globale et systématique à laquelle il est soumis par l'ennemi sioniste-américain.
Le Conseil a expliqué qu'il avait récemment observé la plateforme commerciale sioniste « Bed Esprit » proposant des objets d'art yéménites volés à la vente dans l'entité sioniste (‘israélienne’ du soi-disant ‘Israël’), dans ce qu'on appelle « Tel Aviv » (Jaffa). Ces artefacts comprenaient une petite statue en bronze du Sphinx, datant de la période hellénistique (du IIe au IVe siècle avant J.-C.). Cette statue est considérée comme une partie authentique de la civilisation yéménite.
Il a souligné que la tenue de cette vente aux enchères constitue une violation flagrante des lois internationales et locales protégeant le patrimoine culturel humain et contrevient à tous les principes éthiques.
Le Conseil de promotion du tourisme a demandé à la communauté internationale, à l’UNESCO et à toutes les parties concernées par la protection du patrimoine de prendre des mesures immédiates pour mettre fin à cette vente aux enchères illégale et restituer les antiquités volées au Yémen.
Il a souligné que la protection des antiquités yéménites est une responsabilité nationale, et que les autorités officielles chargées de la protection des antiquités n'hésiteront pas à utiliser tous les moyens pour récupérer chaque artefact volé, et que le Conseil fera tout son possible pour coopérer avec elles.
Le Conseil a lancé un appel urgent aux citoyens, aux organisations de la société civile, aux professionnels des médias et aux militants du monde entier pour qu’ils contribuent à dénoncer ces crimes et à sensibiliser à l’importance de préserver le patrimoine yéménite en tant que pilier fondamental de l’identité nationale et du patrimoine humain.
Il a réitéré son engagement indéfectible en faveur de la protection des antiquités, en raison de son rôle dans leur promotion en tant que droit yéménite et culturel, soulignant que la récupération des antiquités de contrebande n'est pas une option, mais plutôt un droit qui ne peut être ni reporté ni compromis.