
Gaza - Saba :
Le Bureau des médias du gouvernement à Gaza a révélé vendredi un bilan choquant concernant les pertes humaines et matérielles causées par la guerre sioniste en cours dans la bande de Gaza, qui dure depuis 560 jours. Ces chiffres reflètent une catastrophe humanitaire sans précédent pour le peuple palestinien, indique le communiqué.
Le bureau des médias a confirmé dans un rapport que le nombre de martyrs et de personnes disparues dépassait 62 000, dont 51 065 martyrs enregistrés dans les hôpitaux, et plus de 11 000 personnes disparues dont les corps n'ont pas été retrouvés ou dont le sort reste inconnu.
Le rapport explique que l'occupation a commis plus de 12 000 massacres, dont 11 859 massacres contre des familles palestiniennes, et a complètement anéanti 2 172 familles, avec un total de plus de 6 180 martyrs, en plus de 5 070 familles dont un seul membre est resté, après que plus de 9 280 de leurs membres ont été martyrisés.
Selon les statistiques, plus de 18 000 enfants ont été tués pendant la guerre, dont 892 enfants de moins d’un an et 281 nourrissons nés et martyrisés pendant la guerre.
Plus de 12 400 femmes ont été martyrisées, tandis que le nombre de blessés a dépassé 116 500, dont 4 700 amputations, dont 18 % étaient des enfants.
Le bureau a noté le martyre de 1 402 personnels médicaux, 113 personnels de la protection civile et 211 journalistes. Entre-temps, 748 travailleurs humanitaires ont été ciblés dans 157 attaques directes et 529 corps ont été exhumés de sept fosses communes établies par l’occupation à l’intérieur d’hôpitaux.
Le rapport révèle une détérioration catastrophique des conditions de santé, avec 2,13 millions de personnes ayant contracté des maladies infectieuses en raison de déplacements forcés et 71 338 cas d’infection par l’hépatite.
Le rapport confirme que 60 000 femmes enceintes sont en danger en raison du manque de soins de santé et que 22 000 patients attendent un traitement à l'étranger, car l'occupation continue de les empêcher de voyager.
Le rapport fait état d’une destruction généralisée des infrastructures, l’occupation ayant complètement détruit environ 165 000 logements, en endommageant gravement 115 000 et en détruisant partiellement 200 000. Il a également détruit 828 mosquées, 3 églises, 224 bâtiments gouvernementaux et 206 sites archéologiques et patrimoniaux.
Dans le domaine de l’éducation, 13 000 étudiants, 800 enseignants et personnels éducatifs ont été tués, 506 établissements d’enseignement ont été totalement ou partiellement détruits et 785 000 étudiants ont été privés d’éducation.
Dans le secteur de la santé, 38 hôpitaux et 81 centres de santé ont été détruits, en plus de viser 144 ambulances et 54 véhicules de protection civile. Les pertes directes dues à la guerre dépassent 42 milliards de dollars, les destructions affectant plus de 88 % de la bande de Gaza.
Le bureau des médias a mis en garde contre une catastrophe humanitaire sans précédent résultant du blocus en cours et de l'empêchement de l'entrée de carburant, de médicaments et de nourriture, appelant la communauté internationale à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à l'agression et lever le siège de la bande de Gaza.
Le Bureau des médias du gouvernement à Gaza a révélé vendredi un bilan choquant concernant les pertes humaines et matérielles causées par la guerre sioniste en cours dans la bande de Gaza, qui dure depuis 560 jours. Ces chiffres reflètent une catastrophe humanitaire sans précédent pour le peuple palestinien, indique le communiqué.
Le bureau des médias a confirmé dans un rapport que le nombre de martyrs et de personnes disparues dépassait 62 000, dont 51 065 martyrs enregistrés dans les hôpitaux, et plus de 11 000 personnes disparues dont les corps n'ont pas été retrouvés ou dont le sort reste inconnu.
Le rapport explique que l'occupation a commis plus de 12 000 massacres, dont 11 859 massacres contre des familles palestiniennes, et a complètement anéanti 2 172 familles, avec un total de plus de 6 180 martyrs, en plus de 5 070 familles dont un seul membre est resté, après que plus de 9 280 de leurs membres ont été martyrisés.
Selon les statistiques, plus de 18 000 enfants ont été tués pendant la guerre, dont 892 enfants de moins d’un an et 281 nourrissons nés et martyrisés pendant la guerre.
Plus de 12 400 femmes ont été martyrisées, tandis que le nombre de blessés a dépassé 116 500, dont 4 700 amputations, dont 18 % étaient des enfants.
Le bureau a noté le martyre de 1 402 personnels médicaux, 113 personnels de la protection civile et 211 journalistes. Entre-temps, 748 travailleurs humanitaires ont été ciblés dans 157 attaques directes et 529 corps ont été exhumés de sept fosses communes établies par l’occupation à l’intérieur d’hôpitaux.
Le rapport révèle une détérioration catastrophique des conditions de santé, avec 2,13 millions de personnes ayant contracté des maladies infectieuses en raison de déplacements forcés et 71 338 cas d’infection par l’hépatite.
Le rapport confirme que 60 000 femmes enceintes sont en danger en raison du manque de soins de santé et que 22 000 patients attendent un traitement à l'étranger, car l'occupation continue de les empêcher de voyager.
Le rapport fait état d’une destruction généralisée des infrastructures, l’occupation ayant complètement détruit environ 165 000 logements, en endommageant gravement 115 000 et en détruisant partiellement 200 000. Il a également détruit 828 mosquées, 3 églises, 224 bâtiments gouvernementaux et 206 sites archéologiques et patrimoniaux.
Dans le domaine de l’éducation, 13 000 étudiants, 800 enseignants et personnels éducatifs ont été tués, 506 établissements d’enseignement ont été totalement ou partiellement détruits et 785 000 étudiants ont été privés d’éducation.
Dans le secteur de la santé, 38 hôpitaux et 81 centres de santé ont été détruits, en plus de viser 144 ambulances et 54 véhicules de protection civile. Les pertes directes dues à la guerre dépassent 42 milliards de dollars, les destructions affectant plus de 88 % de la bande de Gaza.
Le bureau des médias a mis en garde contre une catastrophe humanitaire sans précédent résultant du blocus en cours et de l'empêchement de l'entrée de carburant, de médicaments et de nourriture, appelant la communauté internationale à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à l'agression et lever le siège de la bande de Gaza.