Hodeidah - Saba :
Le premier vice-Premier ministre Mohammed Miftah, accompagné des ministres des Transports et du Pétrole et du gouverneur de Hodeidah, a inspecté samedi les lieux des importants dégâts causés par la récente agression américaine contre le port de Ras Issa, dans la province de Hodeidah.
Accompagnée du président de l'Agence de presse yéménite (Saba) et d'autres responsables locaux, la délégation de haut niveau a évalué les dégâts infligés au port et à ses infrastructures.
Elle a également rendu visite aux blessés de l'agression américaine, soignés dans les hôpitaux locaux, et a été informée de leur état de santé.
Lors de sa visite, le premier vice-Premier ministre a condamné avec véhémence l'agression américaine, la qualifiant de totalement injustifiée, réitérant que toute agression américaine contre le Yémen était dénuée de fondement.
Il a affirmé que si les États-Unis prétendent que leur présence vise à protéger la navigation, c'est en réalité cette agression qui menace la paix et la sécurité régionales.
Il a lié l'entrave à la « navigation maritime sioniste » à la cessation de l'agression et à la levée du siège de Gaza.
Miftah a appelé la communauté internationale à condamner l'agression américaine, qui a visé les travailleurs portuaires et les infrastructures civiles.
Il a accusé les États-Unis d'avoir délibérément anéanti les personnes présentes dans le port par de multiples raids aériens.
Il a également déclaré que le Yémen ne tolérerait pas un blocus imposé par les États-Unis et que « l'ennemi » subirait les conséquences de ce « crime ».
Le ministre des Transports et des Travaux publics, Mohammed Quhaim, a qualifié l'agression américaine au port de Ras Issa de signe clair de l'échec de l'agression au Yémen.
Il a déclaré que la destruction d'installations civiles est une vaine tentative de dissuader le peuple yéménite de sa position de principe en faveur de Gaza.
Le ministre du Pétrole et des Minéraux a souligné que le port de Ras Issa est une installation civile vitale pour le peuple yéménite et que sa destruction délibérée par les États-Unis vise à nuire à la population civile.
Il a affirmé que ce « crime majeur » ne serait pas toléré et ne dissuaderait pas le Yémen de soutenir Gaza.
Le gouverneur de Hodeida, Abdullah Atifi, a fait écho à ce sentiment, qualifiant les actions américaines à Ras Issa de guerre systématique contre les civils et réaffirmant le soutien indéfectible du Yémen à Gaza jusqu'à la fin de « l'agression sioniste » contre les Palestiniens.
Le président du conseil d'administration de l'agence de presse Saba, Nasr al-Din Amer, a qualifié l'incident de « massacre odieux » visant des civils et des employés du port d'une installation de service civil.
Il a souligné que le port de Ras Issa est au service du public et n'a aucune fonction militaire, contrairement aux allégations de l'ennemi.
Le premier sous-secrétaire d'État de Hodeida, Ahmed al-Bishri, a qualifié l'attaque du port de « crime de guerre à part entière », reflétant l'échec de « l'ennemi américain » face à la détermination yéménite.
Il a souligné que le peuple yéménite avait autorisé ses dirigeants à prendre des décisions stratégiques en réponse à l'agression.
Le premier vice-Premier ministre Mohammed Miftah, accompagné des ministres des Transports et du Pétrole et du gouverneur de Hodeidah, a inspecté samedi les lieux des importants dégâts causés par la récente agression américaine contre le port de Ras Issa, dans la province de Hodeidah.
Accompagnée du président de l'Agence de presse yéménite (Saba) et d'autres responsables locaux, la délégation de haut niveau a évalué les dégâts infligés au port et à ses infrastructures.
Elle a également rendu visite aux blessés de l'agression américaine, soignés dans les hôpitaux locaux, et a été informée de leur état de santé.
Lors de sa visite, le premier vice-Premier ministre a condamné avec véhémence l'agression américaine, la qualifiant de totalement injustifiée, réitérant que toute agression américaine contre le Yémen était dénuée de fondement.
Il a affirmé que si les États-Unis prétendent que leur présence vise à protéger la navigation, c'est en réalité cette agression qui menace la paix et la sécurité régionales.
Il a lié l'entrave à la « navigation maritime sioniste » à la cessation de l'agression et à la levée du siège de Gaza.
Miftah a appelé la communauté internationale à condamner l'agression américaine, qui a visé les travailleurs portuaires et les infrastructures civiles.
Il a accusé les États-Unis d'avoir délibérément anéanti les personnes présentes dans le port par de multiples raids aériens.
Il a également déclaré que le Yémen ne tolérerait pas un blocus imposé par les États-Unis et que « l'ennemi » subirait les conséquences de ce « crime ».
Le ministre des Transports et des Travaux publics, Mohammed Quhaim, a qualifié l'agression américaine au port de Ras Issa de signe clair de l'échec de l'agression au Yémen.
Il a déclaré que la destruction d'installations civiles est une vaine tentative de dissuader le peuple yéménite de sa position de principe en faveur de Gaza.
Le ministre du Pétrole et des Minéraux a souligné que le port de Ras Issa est une installation civile vitale pour le peuple yéménite et que sa destruction délibérée par les États-Unis vise à nuire à la population civile.
Il a affirmé que ce « crime majeur » ne serait pas toléré et ne dissuaderait pas le Yémen de soutenir Gaza.
Le gouverneur de Hodeida, Abdullah Atifi, a fait écho à ce sentiment, qualifiant les actions américaines à Ras Issa de guerre systématique contre les civils et réaffirmant le soutien indéfectible du Yémen à Gaza jusqu'à la fin de « l'agression sioniste » contre les Palestiniens.
Le président du conseil d'administration de l'agence de presse Saba, Nasr al-Din Amer, a qualifié l'incident de « massacre odieux » visant des civils et des employés du port d'une installation de service civil.
Il a souligné que le port de Ras Issa est au service du public et n'a aucune fonction militaire, contrairement aux allégations de l'ennemi.
Le premier sous-secrétaire d'État de Hodeida, Ahmed al-Bishri, a qualifié l'attaque du port de « crime de guerre à part entière », reflétant l'échec de « l'ennemi américain » face à la détermination yéménite.
Il a souligné que le peuple yéménite avait autorisé ses dirigeants à prendre des décisions stratégiques en réponse à l'agression.
