Washington - Saba :
Le président américain Donald Trump a déclaré aujourd’hui que les États-Unis ne peuvent pas donner à chaque immigrant la possibilité de contester son expulsion devant les tribunaux.
« Je fais ce pour quoi j'ai été élu : expulser les criminels de notre pays, mais il semble que les tribunaux ne le souhaitent pas », a écrit Trump dans un message publié sur la plateforme Truth Social, selon Sputnik.
Il a ajouté : « Nous ne pouvons pas poursuivre tout le monde. Cela prendrait littéralement 200 ans. Il faudrait des centaines de milliers de tribunaux pour les centaines de milliers d'immigrants illégaux que nous expulsons. C'est impossible. Quelle situation ridicule !»
Le jour de son investiture, le 20 janvier, Trump a promis, dans son premier discours présidentiel, d'empêcher immédiatement l'entrée d'immigrants illégaux aux États-Unis et d'engager le processus d'expulsion de millions d'immigrants. Il a également déclaré l'état d'urgence nationale en raison de la situation à la frontière sud des États-Unis.
La Cour suprême des États-Unis avait précédemment ordonné à l'administration Trump de « faciliter » le retour du suspect Kilmar Abrego Garcia du Salvador, devenu résident légal après avoir enfreint les règles frontalières et qui élève un enfant souffrant de troubles mentaux.
Par ailleurs, de nombreuses autres actions en justice contestant les décisions d'expulsion et d'immigration de l'administration Trump sont actuellement en instance devant les tribunaux américains.
Le président américain Donald Trump a déclaré aujourd’hui que les États-Unis ne peuvent pas donner à chaque immigrant la possibilité de contester son expulsion devant les tribunaux.
« Je fais ce pour quoi j'ai été élu : expulser les criminels de notre pays, mais il semble que les tribunaux ne le souhaitent pas », a écrit Trump dans un message publié sur la plateforme Truth Social, selon Sputnik.
Il a ajouté : « Nous ne pouvons pas poursuivre tout le monde. Cela prendrait littéralement 200 ans. Il faudrait des centaines de milliers de tribunaux pour les centaines de milliers d'immigrants illégaux que nous expulsons. C'est impossible. Quelle situation ridicule !»
Le jour de son investiture, le 20 janvier, Trump a promis, dans son premier discours présidentiel, d'empêcher immédiatement l'entrée d'immigrants illégaux aux États-Unis et d'engager le processus d'expulsion de millions d'immigrants. Il a également déclaré l'état d'urgence nationale en raison de la situation à la frontière sud des États-Unis.
La Cour suprême des États-Unis avait précédemment ordonné à l'administration Trump de « faciliter » le retour du suspect Kilmar Abrego Garcia du Salvador, devenu résident légal après avoir enfreint les règles frontalières et qui élève un enfant souffrant de troubles mentaux.
Par ailleurs, de nombreuses autres actions en justice contestant les décisions d'expulsion et d'immigration de l'administration Trump sont actuellement en instance devant les tribunaux américains.