
Gaza – Saba :
L'armée israélienne a estimé aujourd’hui mercredi le coût de la reprise et de l'extension de la guerre dans la bande de Gaza depuis le 18 mars à 10 milliards de shekels (2,7 milliards de dollars).
Le journal hébreu Yedioth Ahronoth a rapporté : « La reprise de la guerre à Gaza plus d'un mois après le cessez-le-feu, et l'intention désormais de l'étendre par une nouvelle manœuvre terrestre de grande envergure, coûte très cher.»
Il a expliqué que « l'armée israélienne évoque déjà la nécessité d'une augmentation budgétaire significative d'environ 10 milliards de shekels.»
Elle a ajouté : « Ces derniers jours, les services de sécurité ont calculé le coût supplémentaire d'une prolongation et d'une extension de la guerre, jusqu'à occuper environ 40 % de la bande de Gaza dans les semaines à venir, afin de renforcer la sécurité des villes (colonies) entourant Gaza et d'empêcher de nouveaux tirs de roquettes sur Israël. » Elle a ajouté : « À l'heure actuelle, il ne fait guère de doute que toute augmentation d'impôts supplémentaire sera catégoriquement rejetée, et la solution privilégiée en cas d'augmentation supplémentaire inévitable du budget de la défense serait une nouvelle réduction significative des budgets des ministères et une augmentation d'un dixième ou deux du déficit budgétaire général de l'État. »
L'armée israélienne a estimé aujourd’hui mercredi le coût de la reprise et de l'extension de la guerre dans la bande de Gaza depuis le 18 mars à 10 milliards de shekels (2,7 milliards de dollars).
Le journal hébreu Yedioth Ahronoth a rapporté : « La reprise de la guerre à Gaza plus d'un mois après le cessez-le-feu, et l'intention désormais de l'étendre par une nouvelle manœuvre terrestre de grande envergure, coûte très cher.»
Il a expliqué que « l'armée israélienne évoque déjà la nécessité d'une augmentation budgétaire significative d'environ 10 milliards de shekels.»
Elle a ajouté : « Ces derniers jours, les services de sécurité ont calculé le coût supplémentaire d'une prolongation et d'une extension de la guerre, jusqu'à occuper environ 40 % de la bande de Gaza dans les semaines à venir, afin de renforcer la sécurité des villes (colonies) entourant Gaza et d'empêcher de nouveaux tirs de roquettes sur Israël. » Elle a ajouté : « À l'heure actuelle, il ne fait guère de doute que toute augmentation d'impôts supplémentaire sera catégoriquement rejetée, et la solution privilégiée en cas d'augmentation supplémentaire inévitable du budget de la défense serait une nouvelle réduction significative des budgets des ministères et une augmentation d'un dixième ou deux du déficit budgétaire général de l'État. »