
Sanaa - Saba :
Le Centre Eye of Humanity (œil de l’Humanité) pour les droits et le développement a condamné hier lundi dans les termes les plus forts le bombardement par l'agression américaine de maisons de citoyens dans la capitale, Sanaa, et d'un refuge pour migrants africains illégaux dans le gouvernorat de Saada.
Le centre a expliqué dans un communiqué - reçu par l'agence de presse yéménite (Saba) - que l'avion de l'ennemi américain a ciblé, aux premières heures du lundi 28 avril 2025, un abri pour migrants africains, provoquant un horrible massacre qui a coûté la vie à 68 personnes et en a blessé plus de 60, dans un bilan préliminaire qui devrait s'alourdir, au milieu d'un silence international honteux et honteux.
Le communiqué indique que l'armée de l'air de l'agression, dans le gouvernorat de Sanaa, a lancé ses raids criminels, vers 21h15 dimanche - correspondant au 27 avril 2025 après JC, ciblant quatre maisons appartenant à de simples citoyens dans la région de Thaqban du district de Bani Al-Harith, ce qui a conduit au martyre de 11 civils, dont 8 enfants et 2 femmes, et à la blessure de 4 enfants et d'une femme, dans une scène sanglante qui révèle le visage laid de l'agression qui n'hésite pas à tuer des innocents et à détruire les capacités de vie, dans un défi flagrant à toutes les lois et conventions internationales.
Le Centre Eye of Humanity pour les droits et le développement a affirmé que la poursuite de ces massacres contre les civils et les migrants constitue un crime de guerre à part entière, dont l’administration américaine et ses mandataires criminels portent l’entière responsabilité. Le Centre a tenu les Nations Unies et toutes les organisations internationales responsables de leur silence suspect et de leur complicité honteuse face à ces crimes.
Le Centre a appelé à une enquête internationale urgente et indépendante et à la poursuite des dirigeants de l'agression comme criminels de guerre devant les tribunaux internationaux, soulignant que le sang versé lors de ces crimes restera une malédiction qui hante les tueurs jusqu'au Jour du Jugement, et ne sera pas oublié par le passage du temps.
Le Centre Eye of Humanity (œil de l’Humanité) pour les droits et le développement a condamné hier lundi dans les termes les plus forts le bombardement par l'agression américaine de maisons de citoyens dans la capitale, Sanaa, et d'un refuge pour migrants africains illégaux dans le gouvernorat de Saada.
Le centre a expliqué dans un communiqué - reçu par l'agence de presse yéménite (Saba) - que l'avion de l'ennemi américain a ciblé, aux premières heures du lundi 28 avril 2025, un abri pour migrants africains, provoquant un horrible massacre qui a coûté la vie à 68 personnes et en a blessé plus de 60, dans un bilan préliminaire qui devrait s'alourdir, au milieu d'un silence international honteux et honteux.
Le communiqué indique que l'armée de l'air de l'agression, dans le gouvernorat de Sanaa, a lancé ses raids criminels, vers 21h15 dimanche - correspondant au 27 avril 2025 après JC, ciblant quatre maisons appartenant à de simples citoyens dans la région de Thaqban du district de Bani Al-Harith, ce qui a conduit au martyre de 11 civils, dont 8 enfants et 2 femmes, et à la blessure de 4 enfants et d'une femme, dans une scène sanglante qui révèle le visage laid de l'agression qui n'hésite pas à tuer des innocents et à détruire les capacités de vie, dans un défi flagrant à toutes les lois et conventions internationales.
Le Centre Eye of Humanity pour les droits et le développement a affirmé que la poursuite de ces massacres contre les civils et les migrants constitue un crime de guerre à part entière, dont l’administration américaine et ses mandataires criminels portent l’entière responsabilité. Le Centre a tenu les Nations Unies et toutes les organisations internationales responsables de leur silence suspect et de leur complicité honteuse face à ces crimes.
Le Centre a appelé à une enquête internationale urgente et indépendante et à la poursuite des dirigeants de l'agression comme criminels de guerre devant les tribunaux internationaux, soulignant que le sang versé lors de ces crimes restera une malédiction qui hante les tueurs jusqu'au Jour du Jugement, et ne sera pas oublié par le passage du temps.