
Gaza - Saba :
Le Front Démocratique de Libération de la Palestine (FDLP) a mis en garde hier mercredi contre l'aggravation de la catastrophe sanitaire dans la bande de Gaza, après qu'un nombre croissant d'hôpitaux et de centres médicaux ont cessé leurs activités en raison de la pénurie de carburant nécessaire au fonctionnement des générateurs. Cette situation met en danger la vie de milliers de patients et de blessés.
Dans un communiqué de presse reçu par l'Agence de presse yéménite (Saba), le mouvement a déclaré ce mercredi : Ce qui se passe dans les hôpitaux de la bande de Gaza n'est pas seulement une crise humanitaire, mais un massacre systématique, perpétré par les autorités ennemies israéliennes dans le cadre du génocide qui dure depuis plus de 20 mois. Ce crime a non seulement détruit des infrastructures et des établissements de santé, mais a également transformé le carburant en un outil de massacre incessant de civils.
Le Front a tenu l'ennemi israélien pleinement et directement responsable des menaces délibérées contre la vie de milliers de malades et de blessés, dont des enfants, des prématurés, des patients atteints de cancer et d'insuffisance rénale, privés de tout soutien vital ni de tout traitement. Il s'agit d'une violation flagrante de toutes les normes et conventions internationales, notamment des Conventions de Genève, qui criminalisent le ciblage des civils et de leurs établissements de santé.
Le Front a condamné le silence international alarmant et l'incompétence flagrante des institutions de l'ONU, qui se contentent d'exprimer leur « inquiétude » à un moment où le peuple palestinien est soumis aux formes les plus odieuses de génocide, de famine et de siège médical.
Le Front a appelé les Nations Unies et ses agences compétentes, en particulier l'Organisation mondiale de la santé et le Comité international de la Croix-Rouge, à assumer leurs responsabilités juridiques et humanitaires et à faire immédiatement pression sur l'ennemi pour qu'il autorise l'entrée de carburant et de fournitures médicales dans les hôpitaux de Gaza, sans délai ni condition.
Le Front a également appelé le peuple palestinien, dans son pays et à l'étranger, ainsi que toutes les forces nationales et sociétales, à entreprendre la plus vaste action populaire, médiatique et politique pour dénoncer ce crime, briser le siège et soutenir la résilience du secteur de la santé, au bord de l'effondrement.
Le Front a affirmé que la poursuite de la guerre israélienne contre le peuple palestinien, sous toutes ses formes militaires, économiques et médicales, ne brisera pas notre volonté, mais renforcera plutôt notre détermination à poursuivre la lutte nationale jusqu'à ce que l'ennemi soit balayé et que nos pleins droits à la liberté, au retour et à l'indépendance soient restaurés.
Le Front Démocratique de Libération de la Palestine (FDLP) a mis en garde hier mercredi contre l'aggravation de la catastrophe sanitaire dans la bande de Gaza, après qu'un nombre croissant d'hôpitaux et de centres médicaux ont cessé leurs activités en raison de la pénurie de carburant nécessaire au fonctionnement des générateurs. Cette situation met en danger la vie de milliers de patients et de blessés.
Dans un communiqué de presse reçu par l'Agence de presse yéménite (Saba), le mouvement a déclaré ce mercredi : Ce qui se passe dans les hôpitaux de la bande de Gaza n'est pas seulement une crise humanitaire, mais un massacre systématique, perpétré par les autorités ennemies israéliennes dans le cadre du génocide qui dure depuis plus de 20 mois. Ce crime a non seulement détruit des infrastructures et des établissements de santé, mais a également transformé le carburant en un outil de massacre incessant de civils.
Le Front a tenu l'ennemi israélien pleinement et directement responsable des menaces délibérées contre la vie de milliers de malades et de blessés, dont des enfants, des prématurés, des patients atteints de cancer et d'insuffisance rénale, privés de tout soutien vital ni de tout traitement. Il s'agit d'une violation flagrante de toutes les normes et conventions internationales, notamment des Conventions de Genève, qui criminalisent le ciblage des civils et de leurs établissements de santé.
Le Front a condamné le silence international alarmant et l'incompétence flagrante des institutions de l'ONU, qui se contentent d'exprimer leur « inquiétude » à un moment où le peuple palestinien est soumis aux formes les plus odieuses de génocide, de famine et de siège médical.
Le Front a appelé les Nations Unies et ses agences compétentes, en particulier l'Organisation mondiale de la santé et le Comité international de la Croix-Rouge, à assumer leurs responsabilités juridiques et humanitaires et à faire immédiatement pression sur l'ennemi pour qu'il autorise l'entrée de carburant et de fournitures médicales dans les hôpitaux de Gaza, sans délai ni condition.
Le Front a également appelé le peuple palestinien, dans son pays et à l'étranger, ainsi que toutes les forces nationales et sociétales, à entreprendre la plus vaste action populaire, médiatique et politique pour dénoncer ce crime, briser le siège et soutenir la résilience du secteur de la santé, au bord de l'effondrement.
Le Front a affirmé que la poursuite de la guerre israélienne contre le peuple palestinien, sous toutes ses formes militaires, économiques et médicales, ne brisera pas notre volonté, mais renforcera plutôt notre détermination à poursuivre la lutte nationale jusqu'à ce que l'ennemi soit balayé et que nos pleins droits à la liberté, au retour et à l'indépendance soient restaurés.