
Taiz - Saba :
Sur le Jabal Al-Habil, dans le quartier d'Al-Hashmah du district d'At-Taiziyah, le sol enveloppait cinq enfants, leurs rires dispersés parmi les pierres poussiéreuses, leurs yeux brillant de la simplicité de leurs rêves… jusqu'à ce que l'explosion résonne, que la poussière s'élève et que les petits corps s'immobilisent dans une scène déchirante : Moubarak, Oussama, Bachir, Ahmed et Anas. Cinq noms ont été gravés par des éclats d'obus sur les murs de la mémoire, laissant derrière eux une douleur qui transcende l'espace et le temps.
Les mercenaires du parti Islah, déployés en bandes incontrôlées dans les zones occupées, ont dirigé l'obus vers un quartier peuplé. L'opération s'est déroulée sans affrontements ni présence armée, et les victimes ont été choisies parmi les jouets d'enfants et le calme environnant. Le résultat est un véritable crime contre la vie.
Ce massacre témoigne de l'hostilité profondément ancrée dans les actions de la milice Islah et reflète l'image d'une agression par des moyens locaux, experts dans l'utilisation de l'artillerie lourde contre les communautés civiles pour les soumettre, les terroriser et les contraindre à se plier aux plans de l'occupation.
Les familles ont transporté les corps des victimes à l'hôpital Al-Rifai, sous le choc et la désolation. Elles ont scandé des slogans exigeant que les auteurs soient tenus responsables et que justice soit rendue. Elles ont affirmé que ce crime ne visait pas seulement les enfants, mais qu'il portait également atteinte à l'essence même de la sécurité au plus profond des quartiers, laissant des traces chez les criminels.
Étonnamment, le crime s'est déroulé sans aucun tapage médiatique. Aucune déclaration n'a été publiée, aucune couverture médiatique n'a été publiée et aucun titre n'a dominé la scène. Les petits cercueils sont arrivés à l'hôpital sans objectif pour les accompagner, et le sentiment de perte s'est perdu dans les récits.
Lorsque l'auteur est affilié à la coalition d'agression, les massacres sont étouffés, les voix réduites au silence et le rideau tombe sur l'acte sanglant. Pendant ce temps, la communauté endeuillée se retrouve face à la vérité, sans tribune ni récit pour la soutenir. Ce crime témoigne de la profondeur des préjugés dans la construction de la mémoire.
La milice Islah, qui contrôle les zones occupées de Ta'izz d'une main de fer, continue de recourir aux bombardements et aux tirs isolés comme outils de contrôle, alimentant un système sécuritaire instable qui rassemble de multiples milices et conduit à l'expansion du terrorisme et à l'aggravation du fossé sécuritaire au sein de la société.
Ce crime est l'une des formes les plus horribles d'agression contre l'enfance, avec ses connotations brutales. Cela révèle une politique systématique qui recourt aux bombardements pour faire taire l'innocence et semer la peur dans un environnement gouverné par une main de fer, où les normes les plus élémentaires de l'enfance sont confisquées.
Les dimensions sous-jacentes de ce crime vont au-delà du simple bombardement. Il s'agit de la manifestation éclatante d'une approche agressive visant à déstabiliser la société, à transformer les villes en zones de tension perpétuelle et à remplacer l'espoir par la menace du danger, dans un contexte de privation généralisée de services et de moyens de protection.
La coalition d'agression, qui soutient directement la milice Islah, continue de créer un environnement sanglant, en investissant ses mercenaires dans des missions sordides, en assignant à ses plateformes médiatiques des rôles de justification et de promotion, et en exploitant son silence pour légitimer des crimes qui se répètent régulièrement.
Les familles des martyrs d'Al-Hishmah et l'ensemble de la population de Ta'izz ont condamné cet acte honteux perpétré par les mercenaires d'Islah. Ils ont souligné que ce massacre a aggravé la douleur dans la conscience du gouvernorat et a accru la colère populaire face à ce comportement criminel.
Le massacre a suscité une vague d'indignation et des réactions de colère au sein des milieux des droits humains et de la population. De multiples condamnations ont été émises, et les taches de sang sont restées les témoins de la trahison dans le quartier d'Al-Arsoum. L'image des petits cercueils au cœur du Yémen demeure une blessure non cicatrisée.
Le massacre d'Al-Hishma reflète clairement un projet sanglant qui se déploie sur les corps des enfants, transformant les communautés en arènes de terreur, remplaçant la tranquillité par la mainmise des armes, gouvernant la réalité selon la logique des milices et cultivant la mort comme moyen de survie.
Sur le Jabal Al-Habil, dans le quartier d'Al-Hashmah du district d'At-Taiziyah, le sol enveloppait cinq enfants, leurs rires dispersés parmi les pierres poussiéreuses, leurs yeux brillant de la simplicité de leurs rêves… jusqu'à ce que l'explosion résonne, que la poussière s'élève et que les petits corps s'immobilisent dans une scène déchirante : Moubarak, Oussama, Bachir, Ahmed et Anas. Cinq noms ont été gravés par des éclats d'obus sur les murs de la mémoire, laissant derrière eux une douleur qui transcende l'espace et le temps.
Les mercenaires du parti Islah, déployés en bandes incontrôlées dans les zones occupées, ont dirigé l'obus vers un quartier peuplé. L'opération s'est déroulée sans affrontements ni présence armée, et les victimes ont été choisies parmi les jouets d'enfants et le calme environnant. Le résultat est un véritable crime contre la vie.
Ce massacre témoigne de l'hostilité profondément ancrée dans les actions de la milice Islah et reflète l'image d'une agression par des moyens locaux, experts dans l'utilisation de l'artillerie lourde contre les communautés civiles pour les soumettre, les terroriser et les contraindre à se plier aux plans de l'occupation.
Les familles ont transporté les corps des victimes à l'hôpital Al-Rifai, sous le choc et la désolation. Elles ont scandé des slogans exigeant que les auteurs soient tenus responsables et que justice soit rendue. Elles ont affirmé que ce crime ne visait pas seulement les enfants, mais qu'il portait également atteinte à l'essence même de la sécurité au plus profond des quartiers, laissant des traces chez les criminels.
Étonnamment, le crime s'est déroulé sans aucun tapage médiatique. Aucune déclaration n'a été publiée, aucune couverture médiatique n'a été publiée et aucun titre n'a dominé la scène. Les petits cercueils sont arrivés à l'hôpital sans objectif pour les accompagner, et le sentiment de perte s'est perdu dans les récits.
Lorsque l'auteur est affilié à la coalition d'agression, les massacres sont étouffés, les voix réduites au silence et le rideau tombe sur l'acte sanglant. Pendant ce temps, la communauté endeuillée se retrouve face à la vérité, sans tribune ni récit pour la soutenir. Ce crime témoigne de la profondeur des préjugés dans la construction de la mémoire.
La milice Islah, qui contrôle les zones occupées de Ta'izz d'une main de fer, continue de recourir aux bombardements et aux tirs isolés comme outils de contrôle, alimentant un système sécuritaire instable qui rassemble de multiples milices et conduit à l'expansion du terrorisme et à l'aggravation du fossé sécuritaire au sein de la société.
Ce crime est l'une des formes les plus horribles d'agression contre l'enfance, avec ses connotations brutales. Cela révèle une politique systématique qui recourt aux bombardements pour faire taire l'innocence et semer la peur dans un environnement gouverné par une main de fer, où les normes les plus élémentaires de l'enfance sont confisquées.
Les dimensions sous-jacentes de ce crime vont au-delà du simple bombardement. Il s'agit de la manifestation éclatante d'une approche agressive visant à déstabiliser la société, à transformer les villes en zones de tension perpétuelle et à remplacer l'espoir par la menace du danger, dans un contexte de privation généralisée de services et de moyens de protection.
La coalition d'agression, qui soutient directement la milice Islah, continue de créer un environnement sanglant, en investissant ses mercenaires dans des missions sordides, en assignant à ses plateformes médiatiques des rôles de justification et de promotion, et en exploitant son silence pour légitimer des crimes qui se répètent régulièrement.
Les familles des martyrs d'Al-Hishmah et l'ensemble de la population de Ta'izz ont condamné cet acte honteux perpétré par les mercenaires d'Islah. Ils ont souligné que ce massacre a aggravé la douleur dans la conscience du gouvernorat et a accru la colère populaire face à ce comportement criminel.
Le massacre a suscité une vague d'indignation et des réactions de colère au sein des milieux des droits humains et de la population. De multiples condamnations ont été émises, et les taches de sang sont restées les témoins de la trahison dans le quartier d'Al-Arsoum. L'image des petits cercueils au cœur du Yémen demeure une blessure non cicatrisée.
Le massacre d'Al-Hishma reflète clairement un projet sanglant qui se déploie sur les corps des enfants, transformant les communautés en arènes de terreur, remplaçant la tranquillité par la mainmise des armes, gouvernant la réalité selon la logique des milices et cultivant la mort comme moyen de survie.