
Téhéran - Saba :
La télévision d’État iranienne a annoncé hier que Téhéran avait accepté d’organiser un nouveau cycle de négociations avec la troïka de l’UE (France, Allemagne et Grande-Bretagne) concernant son programme nucléaire.
La télévision d’État iranienne a rapporté tôt lundi que les négociations devraient se tenir vendredi prochain à Istanbul, en Turquie.
La télévision a déclaré : « Ces négociations devraient se tenir vendredi au niveau des vice-ministres des Affaires étrangères, avec la participation de Majid Takht-e Ravanchi et Kazem Gharibabadi, à Istanbul, et porteront sur le programme nucléaire iranien.»
Elle a précisé que les négociations entre l’Iran et les pays européens se déroulent séparément des négociations indirectes avec les États-Unis sur la question du nucléaire iranien.
Plus tôt dimanche, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a affirmé que « la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne ont perdu toute légitimité juridique, politique ou morale dans leurs tentatives d'activer les mécanismes de l'accord nucléaire et de la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l'ONU ».
La télévision d’État iranienne a annoncé hier que Téhéran avait accepté d’organiser un nouveau cycle de négociations avec la troïka de l’UE (France, Allemagne et Grande-Bretagne) concernant son programme nucléaire.
La télévision d’État iranienne a rapporté tôt lundi que les négociations devraient se tenir vendredi prochain à Istanbul, en Turquie.
La télévision a déclaré : « Ces négociations devraient se tenir vendredi au niveau des vice-ministres des Affaires étrangères, avec la participation de Majid Takht-e Ravanchi et Kazem Gharibabadi, à Istanbul, et porteront sur le programme nucléaire iranien.»
Elle a précisé que les négociations entre l’Iran et les pays européens se déroulent séparément des négociations indirectes avec les États-Unis sur la question du nucléaire iranien.
Plus tôt dimanche, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a affirmé que « la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne ont perdu toute légitimité juridique, politique ou morale dans leurs tentatives d'activer les mécanismes de l'accord nucléaire et de la résolution 2231 du Conseil de sécurité de l'ONU ».