Bruxelles – Saba :
La Fondation Hind Rajab pour les droits de l'homme a annoncé aujourd'hui que les autorités belges ont arrêté et interrogé deux soldats israéliens soupçonnés d'avoir commis des crimes de guerre contre des Palestiniens dans la bande de Gaza.
La fondation a déclaré dans un communiqué : « Dans ce qui pourrait marquer un tournant dans la quête mondiale de justice, la police fédérale belge a arrêté et interrogé deux soldats israéliens accusés de manière crédible d'avoir commis des crimes de guerre à Gaza », selon l'agence Anadolu.
Elle a ajouté que « cette action fait suite à une plainte urgente déposée par la Fondation Hind Rajab et le Réseau mondial d'action juridique (GLAN) en début de semaine.» L'organisation de défense des droits humains a expliqué que « les suspects ont été identifiés et arrêtés lors du festival Tomorrowland à Boom », dans la province d'Anvers, où se déroule l'un des plus grands festivals de musique électronique au monde.
L'organisation a ajouté : « Après leur arrestation, ils ont été formellement interrogés et libérés. Le parquet fédéral belge a confirmé qu'une enquête pénale est actuellement en cours.»
La Fondation Hind Rajab et le Réseau mondial d'action juridique ont appelé les autorités belges à « poursuivre l'enquête de manière complète et indépendante. La justice ne doit pas s'arrêter là, et nous sommes déterminés à la mener jusqu'au bout.»
L'organisation a considéré que « cette évolution constitue une étape importante, indiquant que la Belgique a reconnu sa compétence en vertu du droit international et traite les allégations avec le sérieux qu'elles méritent, alors que de nombreux gouvernements restent silencieux.»
Elle a estimé que « cette action belge envoie un message clair : les preuves crédibles de crimes internationaux doivent être traitées par la justice, et non par l'indifférence politique.»
Elle a ajouté : « Nous ne prétendons pas que justice ait été rendue, pas encore. Mais nous pensons que quelque chose d’important a commencé. Pour la première fois en Europe, deux suspects israéliens liés aux crimes commis à Gaza ont été officiellement arrêtés et interrogés.»
L’organisation de défense des droits humains s’est adressée aux victimes et aux survivants de Gaza : « Nous vous voyons, nous vous entendons et nous portons vos demandes de justice.»
Elle a ajouté : « À ceux (Israéliens) qui croyaient que l’impunité était permanente : ce moment prouve qu’elle ne l’est pas.»
Elle a poursuivi : « À tous les États qui nous regardent : la compétence universelle n’est pas seulement un principe, c’est une obligation.»
De nombreuses organisations à travers le monde, dont Hind Rajab, déploient des efforts intensifs pour poursuivre et traduire en justice les militaires israéliens pour les crimes de guerre commis à Gaza.
Hind Rajab est le nom d'une fillette palestinienne de 5 ans tuée par l'armée israélienne, avec six membres de sa famille, alors qu'ils se réfugiaient dans une voiture au sud-ouest de la ville de Gaza le 29 janvier 2024.
Avec le soutien des États-Unis et de l'Europe, l'armée ennemie israélienne continue de commettre des crimes génocidaires dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, faisant 59 029 martyrs parmi les civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et 142 135 blessés. À ce jour, il ne s'agit que d'un bilan préliminaire : des milliers de victimes sont toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.
La Fondation Hind Rajab pour les droits de l'homme a annoncé aujourd'hui que les autorités belges ont arrêté et interrogé deux soldats israéliens soupçonnés d'avoir commis des crimes de guerre contre des Palestiniens dans la bande de Gaza.
La fondation a déclaré dans un communiqué : « Dans ce qui pourrait marquer un tournant dans la quête mondiale de justice, la police fédérale belge a arrêté et interrogé deux soldats israéliens accusés de manière crédible d'avoir commis des crimes de guerre à Gaza », selon l'agence Anadolu.
Elle a ajouté que « cette action fait suite à une plainte urgente déposée par la Fondation Hind Rajab et le Réseau mondial d'action juridique (GLAN) en début de semaine.» L'organisation de défense des droits humains a expliqué que « les suspects ont été identifiés et arrêtés lors du festival Tomorrowland à Boom », dans la province d'Anvers, où se déroule l'un des plus grands festivals de musique électronique au monde.
L'organisation a ajouté : « Après leur arrestation, ils ont été formellement interrogés et libérés. Le parquet fédéral belge a confirmé qu'une enquête pénale est actuellement en cours.»
La Fondation Hind Rajab et le Réseau mondial d'action juridique ont appelé les autorités belges à « poursuivre l'enquête de manière complète et indépendante. La justice ne doit pas s'arrêter là, et nous sommes déterminés à la mener jusqu'au bout.»
L'organisation a considéré que « cette évolution constitue une étape importante, indiquant que la Belgique a reconnu sa compétence en vertu du droit international et traite les allégations avec le sérieux qu'elles méritent, alors que de nombreux gouvernements restent silencieux.»
Elle a estimé que « cette action belge envoie un message clair : les preuves crédibles de crimes internationaux doivent être traitées par la justice, et non par l'indifférence politique.»
Elle a ajouté : « Nous ne prétendons pas que justice ait été rendue, pas encore. Mais nous pensons que quelque chose d’important a commencé. Pour la première fois en Europe, deux suspects israéliens liés aux crimes commis à Gaza ont été officiellement arrêtés et interrogés.»
L’organisation de défense des droits humains s’est adressée aux victimes et aux survivants de Gaza : « Nous vous voyons, nous vous entendons et nous portons vos demandes de justice.»
Elle a ajouté : « À ceux (Israéliens) qui croyaient que l’impunité était permanente : ce moment prouve qu’elle ne l’est pas.»
Elle a poursuivi : « À tous les États qui nous regardent : la compétence universelle n’est pas seulement un principe, c’est une obligation.»
De nombreuses organisations à travers le monde, dont Hind Rajab, déploient des efforts intensifs pour poursuivre et traduire en justice les militaires israéliens pour les crimes de guerre commis à Gaza.
Hind Rajab est le nom d'une fillette palestinienne de 5 ans tuée par l'armée israélienne, avec six membres de sa famille, alors qu'ils se réfugiaient dans une voiture au sud-ouest de la ville de Gaza le 29 janvier 2024.
Avec le soutien des États-Unis et de l'Europe, l'armée ennemie israélienne continue de commettre des crimes génocidaires dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, faisant 59 029 martyrs parmi les civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et 142 135 blessés. À ce jour, il ne s'agit que d'un bilan préliminaire : des milliers de victimes sont toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.