
Washington-Saba :
Quatre-vingt-treize membres démocrates de la Chambre des représentants des États-Unis ont appelé hier jeudi le secrétaire d’État Marco Rubio à ouvrir une enquête urgente sur la structure et le fonctionnement de la Fondation humanitaire pour Gaza, qui gère actuellement les sites de distribution d’aide dans la bande de Gaza.
Dans une lettre officielle, ils ont exprimé leur profonde inquiétude quant au fait que la fondation soit devenue l’entité principale, voire unique, responsable de l’acheminement de l’aide, malgré son manque de compétences et d’expertise nécessaires.
Ils ont souligné que l’acheminement sûr et efficace de l’aide humanitaire aux Palestiniens est une obligation morale et essentielle pour la sécurité d’Israël ainsi que pour progresser sur la question des prisonniers.
Les représentants ont vivement critiqué ce qu’ils ont décrit comme un manque de transparence et de contrôle de la fondation, soulignant que le modèle de distribution adopté, basé sur le principe du premier arrivé, premier servi, a semé le chaos et fait des victimes.
Ils ont exigé la divulgation des sources de financement de la fondation et des détails de ses contrats avec les sociétés de sécurité et les fournisseurs d’aide.
Quatre-vingt-treize membres démocrates de la Chambre des représentants des États-Unis ont appelé hier jeudi le secrétaire d’État Marco Rubio à ouvrir une enquête urgente sur la structure et le fonctionnement de la Fondation humanitaire pour Gaza, qui gère actuellement les sites de distribution d’aide dans la bande de Gaza.
Dans une lettre officielle, ils ont exprimé leur profonde inquiétude quant au fait que la fondation soit devenue l’entité principale, voire unique, responsable de l’acheminement de l’aide, malgré son manque de compétences et d’expertise nécessaires.
Ils ont souligné que l’acheminement sûr et efficace de l’aide humanitaire aux Palestiniens est une obligation morale et essentielle pour la sécurité d’Israël ainsi que pour progresser sur la question des prisonniers.
Les représentants ont vivement critiqué ce qu’ils ont décrit comme un manque de transparence et de contrôle de la fondation, soulignant que le modèle de distribution adopté, basé sur le principe du premier arrivé, premier servi, a semé le chaos et fait des victimes.
Ils ont exigé la divulgation des sources de financement de la fondation et des détails de ses contrats avec les sociétés de sécurité et les fournisseurs d’aide.