Téhéran - Saba :
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ismail Baghaei, a déclaré hier, le mercredi, que l'adoption d'une résolution contre son pays par la Troisième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies (ONU) sous prétexte des droits de l'homme est une mesure hypocrite et un exemple clair de l'exploitation politique des droits de l'homme pour obtenir des résultats illégaux objectifs, et il a fermement condamné cette résolution.
Jeudi, l'agence de presse internationale Tasnim a cité Baghaei disant : L'adoption d'une résolution contre l'Iran par la Troisième Commission de l'Assemblée générale des Nations Unies sous prétexte des droits de l'homme est une mesure hypocrite et un exemple clair d'exploitation politique des droits de l'homme pour atteindre des objectifs illégitimes, et il a fermement condamné cette résolution.
Il a souligné que la soumission de cette résolution par le Canada, l'Amérique, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et un certain nombre d'autres pays occidentaux, qui sont considérés comme parmi les plus grands violateurs des droits de l'homme et partenaires des crimes de l'entité sioniste dans l'extermination du peuple palestinien, incarne pleinement l’hypocrisie des rédacteurs de cette résolution et représente une preuve claire du changement de conception selon lequel les droits de l’homme sont devenus un outil de pression politique contre les peuples indépendants.
Il a souligné que la République islamique d'Iran ne ménagera aucun effort pour préserver et promouvoir les droits de l'homme.
Baqai a ajouté : La participation de l’entité sioniste raciste à la rédaction et à l’adoption de cette résolution est considérée comme un scandale politique et moral majeur pour ses rédacteurs occidentaux, et une preuve de la dévaluation des droits humains sublimes et du vidage des institutions internationales de leur philosophie fondamentale.
Il a souligné que la République islamique d'Iran, en tant que régime démocratique, s'engage à protéger et à promouvoir les droits de l'homme sur la base des politiques fondamentales stipulées dans la Constitution, et s'efforce de remplir ses obligations internationales.
Il a expliqué que l'Iran maintient une coopération constructive avec les mécanismes des droits de l'homme des Nations Unies, notamment le Haut-Commissariat et les organes conventionnels, et poursuivra ces efforts à l'avenir.