Al-Qods occupée - Saba :
Les familles de prisonniers israéliens ont exigé samedi la libération de tous les prisonniers et la fin de la guerre, soulignant : « Nous voulons le retour immédiat des prisonniers, et si Netanyahou refuse, nous devons le destituer. »
Les familles des prisonniers ont déclaré dans un communiqué que le Hamas était prêt à libérer leurs fils de la bande de Gaza, soulignant que c’est le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou qui s’y oppose.
Elles ont ajouté que 70 % des Israéliens souhaitent l’arrêt de la guerre et le retour des prisonniers, ajoutant : « Mais nous assistons à une guerre sans horizon.»
Elles ont ajouté : « Le criminel Netanyahou nous ment lorsqu’il affirme que la pression militaire ramènera nos fils.»
Les familles des prisonniers ont ajouté : « Nous voulons que les prisonniers soient tous renvoyés immédiatement, et si Netanyahou refuse, nous devons le renverser. »
Elles ont appelé le président américain Donald Trump à faire pression sur Netanyahou pour qu'il les restitue.
Les familles ont ajouté : « Nous avons prévenu que la pression militaire tuerait les prisonniers, mais Netanyahou n'a pas écouté. »
Les Brigades Izz al-Din al-Qassam, la branche armée du Hamas, ont diffusé samedi soir des images du sauvetage de prisonniers israéliens dans un tunnel après le bombardement de l'aviation israélienne il y a quelques jours.
Des membres des Brigades Qassam ont été vus creusant à l'intérieur du tunnel et parlant aux prisonniers israéliens en hébreu, cherchant à les sauver. Les images montrent également un prisonnier soigné après avoir été blessé par le bombardement. Il a déclaré : « J'ai mal au corps… J'ai du mal à respirer. »
Les Brigades Qassam détiennent encore une soixantaine de prisonniers israéliens, pour la plupart des soldats, et exigent que leur libération soit conditionnée à la fin de la guerre d'extermination à Gaza et à un accord d'échange de prisonniers.
Les Brigades Al-Qassam ont libéré des dizaines de prisonniers israéliens en échange de centaines de prisonniers palestiniens lors de la première phase de l'accord de cessez-le-feu, entré en vigueur le 19 janvier et d'une durée de 42 jours.
